Catégorie : Formation

 

Nous sommes tous des cyborgs

Un cyborg est un être humain, ou à la rigueur un autre être vivant intelligent, en science-fiction, qui a reçu des greffes de parties mécaniques. Nos téléphones portables sont greffés dans nos mains, comme une extension de notre corps. Nous sommes connectés de manière permanente avec le monde qui nous entoure, peu importe le lieu ou l’heure.

Robot

Le marché des objets connectés se développe de plus en plus. Certains vont même nous permettre de surveiller notre santé grâce à des dispositifs connectés. La science et les objets connectés rêvent de nous rendre immortels physiquement et mentalement.

Aux Etats-Unis, le corps est perçu comme un outil que l’on peut modifier pour le rendre plus puissant. Cette vision est probablement le résultat des super-héros dotés de pouvoir magiques tels que Spider Man, Harry Potter, Super man.
A l’inverse, au Japon par exemple, les robots sont indépendants à nos corps humains, ils ne sont pas des extensions de nos propres membres.

Aujourd’hui, on peut implanter dans nos corps des dispositifs pour éviter la souffrance, atténuer les symptômes de maladies, voire restaurer certaines aptitudes.

La technologie va-t-elle améliorer l’homme? Jusqu’où notre soif de performance changera-t-elle l’homme ?

 

Coach sportif en entreprise, pourquoi pas ?

La tendance du coach sportif est de plus en plus répandue depuis quelques années. A la maison entre amis, mais aussi en entreprise entre collègues ! Peut-on s’inspirer du sport pour créer du management sportif ?

Un succès dû à un accompagnement personnalisé qui permet de maintenir une forme physique, d’évacuer le stress et de fédérer un groupe autour d’une activité commune de dépassement de soi.
Guider, conseiller, motiver… le coach sportif doit être à l’écoute de ses clients, disponible et pédagogue.

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Quelles similitudes existe-t-il entre le management et le coaching sportif ?

Le salarié doit avoir les qualités d’un sportif de haut niveau : engagement, passion, dépassement de soi, et capacité progresser et à transformer les échecs. Le manager quant à lui, doit comme le coach sportif, exercer une influence, favoriser la cohésion entre ses collaborateurs, entretenir leur motivation et être proche d’eux.

En entreprise comme dans le sport, il y a des objectifs personnels et collectifs à atteindre. L’humain, est la base. Il faut connaître personnellement ses collaborateurs, les consulter et les faire participer à la définition de l’objectif pour ensuite estimer le potentiel du groupe.

 

 

 

Les annonces d’emploi en abondance sur les sites

Il existe en moyenne cinq à dix offres d’emploi pour un seul poste.
Pourquoi 600.000 offres sont publiées pour 170.000 recrutements réalisés au final ?
Ces dernières années, la multidiffusion des offres s’est généralisée. Les entreprises veulent multiplier leur chance de trouver le candidat idéal en cherchant sur tous types de sites.

emploi

Ce phénomène s’explique d’abord par le fait que les entreprises sont de plus en plus exigeantes dans leur recrutement.
Par ailleurs, l’annonce ne sert plus seulement à recruter, elle est devenue un outil de communication pour gagner en notoriété et faire obtenir à l’entreprise l’image d’une structure en renouvellement.
Ainsi, pour limiter cette communication massive, Pôle Empoi a signé plus de cinquante partenariats avec des sites d’annonces de recrutement, pour que ces derniers s’engagent à supprimer les doublons.

Une bonne stratégie de recherche d’emploi ou de recrutement repose sur des compétences et des choix assumés. Mais aussi sur la confiance régnant entre les parties. Une relation recruteur/candidat qui reste à réhabiliter.

La concentration en voie de disparition au travail !

Douze minutes c’est le laps de temps pendant lequel les salariés français parviennent à se concentrer sur leur travail sans être interrompus.

Le travailleur aujourd’hui a du mal à mobiliser son attention dans des projets demandant du temps et de la concentration. Les nouvelles technologies sont responsables de l’interruption de notre attention au travail (mails, texto, applications en tout genre, appels téléphoniques…). Les distractions déstabilisent l’esprit et nous font faire des erreurs ou manquer des informations importantes.

Un employé reçoit en moyenne 34 courriels par jours, en comptant les SMS, chacun déclare recevoir en moyenne 40 messages par jour, ce qui représente un message toutes les douze minutes.

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Une bonne concentration aide à la mémorisation et évite une baisse d’énergie, il est indispensable de rester concentré pour être 100% productif, pour lire, téléphoner, ou animer une réunion. Une bonne concentration vous facilite la mémorisation et évite une trop grande déperdition d’énergie. Optimiser votre concentration c’est aussi être plus apaisé et obtenir une bonne maîtrise de soi. Se laisser distraire par vos messageries ou des pensées parasites c’est réduire ses capacités et la qualité du travail.

Votre concentration la plus active a lieu le matin, lorsque vous vous lancez sur votre lieu de travail. Prenez bien le temps de hiérarchiser vos urgences. Commencez par les taches qui requièrent le plus de créativité ou de concentration, et passez ensuite à un travail plus simple, comme supprimer des e-mails ou planifier des réunions.
Il ne s’agit pas d’être attentif en permanence, mais de profiter de courtes périodes sans distraction pour être un maximum efficace.

Hakima Seffih a accepté de témoigner sur son expérience avec l’association ADVAE du cabinet VAE Les 2 Rives

La VAE, c’est un pas que je souhaitais franchir, il y a déjà bien 10 ans. Mais je ne me sentais pas capable de concilier vie professionnelle, vie personnelle et VAE.

J’ai quitté le cursus scolaire en classe de première L et n’est donc pas eu mon BAC.

En mai 2014, je fus licenciée pour motif économique et je me suis décidée à franchir le pas.

La démarche avec l’ADVAE a commencé en juillet 2014 et s’est déroulée très rapidement. J’ai eu mon BTS Assistant de Manager le 10 février dernier avec les félicitations du jury.

Je voudrais remercier Anne Huguet qui a été très présente tout au long du chemin. Elle a su me guider dans mes choix, elle m’a parfois bousculée, cela a été difficile mais j’avais besoin d’un accompagnement soutenu. Elle m’a complètement aidé dans mon orientation, les échéances à tenir dont je n’avais pas connaissance initialement, elle m’a indiqué à qui je devais m’adresser pour les inscriptions mais aussi dans mes recherches.
Par ailleurs, c’était important pour moi de recevoir les encouragements et de sentir le soutien constant de mes enfants, mon mari et mes amis.

La flexibilité dont a fait preuve ma consultante m’a permis de concilier la VAE avec la recherche d’emploi. Cela a très bien fonctionné car nous nous sommes adaptées à nos contraintes respectives ; on travaille les week-ends, on se lève plus tôt le matin et on travaille plus tard le soir.

A la suite de cette expérience, j’ai retrouvé un poste d’assistante de direction dans mon secteur d’activité qui est la post-production audiovisuelle.

L’importance des comportements non-verbaux et du para-verbal en entretien

Pour préparer un entretien, il est primordial de savoir que les mots ne représentent que 7% de nos messages. 55% sont consacrés au visuel et 38% au ton de notre voix.

Qu’est ce que la communication non verbale ?
Selon Jacques Corraze, le terme de communication non verbale « s’applique aux gestes, à la posture, à l’orientation du corps, la singularité somatique naturelle ou artificielle, voire à des organisations d’objets, des rapports de distance entre individus, grâce auxquels une information est émise. »

Les différentes composantes de la communication non verbale sont :
– Les postures (soumission, domination, partage, ouverture, attitude de rejet ou d’évitement)
– Les mimiques du visage (le plissement du front, le sourire, le regard, le froncement des sourcils)
– Le regard, le contact visuel est très important, il met en éveil l’attention du public, il permet d’être présent aux autres et de détecter leurs réactions
– Les signaux vocaux (l’accent, la prononciation, le timbre, l’intensité, le ton)
– Les territoires (professionnel, familial, personnel)
– Les gestes (hochement de la tête d’avant en arrière, main tendue, point levé)

Il faut savoir que les expressions du visage ne sont pas conditionnées par la culture, elles sont universelles. Ainsi, les sept émotions de base sont : la colère, le dégoût, la haine, la surprise, la tristesse, la joie et la peur.

En entretien il est donc inévitable de maîtriser la communication non verbale en veillant à l’apparence vestimentaire, le regard, la tête et les expressions faciales, la posture, le toucher, et le comportement vocal.

Businessman gesturing with both hands.

Les candidats sont-ils tous des menteurs ?

CV

Le Curriculum Vitae peut-il toujours être considéré comme l’honnête description des parcours des candidats ?

D’après une étude menée il y a un an par le réseau Florian Mantione Institut, 3/4 des CV des candidats ne reflèteraient pas la vérité et 1 employeur sur 3 n’en vérifierait pas les données.

Parmi les candidats les plus malhonnêtes, figurent les commerciaux (cités par 75 % des entreprises), les managers (52 %), les techniciens et les ingénieurs (36 %) et les administratifs (26 %). Le plus souvent, les candidats trompent leurs employeurs en déformant la réalité des postes qu’ils ont effectués ou en élargissant leur zone de travail.

Mais il existe bien d’autres éléments sur lesquels ils peuvent enjoliver la vérité comme : les langues, la rémunération réelle, l’adresse postale…

Pourquoi alors les candidats prennent-ils ce risque ?

Facile. L’avènement du web explique les comportements des chercheurs d’emplois. Habitués à postuler à une offre depuis les sites carrières des entreprises, les candidats semblent peu impliqués dans l’acte de saisir leurs informations professionnelles en ligne. Ils se sentent alors plus libres de répondre en ajustant leur carrière aux besoins des entreprises qui recrutent de moins en moins et qui recherchent des CV exemplaires.

candidat

Malgré cette tendance, nous vous conseillons de toujours rester honnête, car même si peu d’employeurs vérifient l’exactitude des informations, 1 fois sur 3, après l’avoir fait, le candidat est éliminé.

Sophie Mandrillon, diplômée du Master Grande Ecole de Montpellier Business School par la VAE

Sophie Mandrillon

Montpellier Business School est l’une des rares Grandes Ecoles de Management à proposer une démarche VAE permettant l’octroi de son diplôme Master Grande Ecole. En 2015, faisant toujours partie des établissements pionniers, elle compte déjà, parmi 23 candidats présentés et accompagnés spécifiquement, 17 « full » diplômés du Master Grande Ecole par la VAE. Entretien avec l’une des lauréates du jury 2015 : Madame Sophie Mandrillon responsable marketing chez Atout France.

Sophie se définit elle-même comme ayant le goût des challenges. A 30 ans, à un moment clé de sa carrière, elle décide, en parallèle de son activité professionnelle de bousculer tous ses acquis pour faire le point sur ses compétences. « Après ma licence professionnelle dédiée aux fonctions internationales, j’avais décidé de travailler ! L’opportunité était là, à Londres, mon stage de fin d’études se transformait en contrat. Mais, je crois qu’au fond, j’ai toujours su que je reviendrai aux études sans avoir envisagé la manière de le faire. Après plusieurs évolutions de poste dans ma carrière, à un âge clé, j’ai souhaité trouver une formation reconnue à l’international et diplômante pour faire un travail de remise à plat et de valorisation de mes compétences » précise-t-elle.

Reprendre des études oui, dans un cadre, mais aussi à certaines conditions ! Celle notamment de ne pas arrêter sa carrière professionnelle. « On n’est plus du tout dans la perspective unique de reprendre des cours ! » Sophie regarde les MBA mais elle se trouve bien trop jeune. Elle découvre enfin la VAE. Atout France, son employeur appuie sa démarche.  Partenaire avec le cabinet «  les 2 rives », elle lui fait rencontrer David Rivoire et surtout Vincent Causse, associé du cabinet.

« Si j’ai un conseil à donner à ceux qui recherchent une formation diplômante en parallèle de leur vie professionnelle, je leur recommande vraiment un accompagnement. J’ai trouvé chez les 2 Rives et chez mon « coach » le moteur indispensable dont j’avais besoin pour rédiger mon dossier de preuves qui fait plus de 200 pages tout de même ! Ce travail que j’ai effectué est une vraie remise à plat globale pour structurer mon parcours, l’expliquer, c’est presque une psychothérapie du travail (rires) car il s’agit de parler de soi, de le contextualiser, de l’évaluer. Cela m’a permis d’avoir une vision très globale, d’acter mes forces et de changer immédiatement certaines de mes postures managériales » précise-t-elle. « Et au-delà de la conception du dossier de preuves, pour lequel on croit très naïvement, au départ, que ça va être « easy » il y a les modules et les cours ! J’ai été ravie de travailler avec l’équipe pédagogique de Montpellier Business School. Les professeurs Mickaël Géraudel, Patrick Mahé et David Roubaud pour les 3 modules de Stratégie d’Entreprise, Management et Finance ont pris le temps de comprendre mon environnement pour adapter leur enseignement… J’ai adoré ce retour en formation personnalisée  … tout en ayant maudit un peu parfois le e-learning quand je révisais le week-end ! J’ai pu réussir ce diplôme avec leur aide et celle de mon entreprise, bien sûr, mais surtout avec le total soutien de mon conjoint qui durant 7 mois a accepté ma vie d’étudiante professionnelle. Un diplôme Bac+5 par la VAE est donc une affaire collective ! »

Contact : Sophie.mandrillon@gmail.com

Jules Apénuvor au séminaire « Jeunes chercheurs » du Laboratoire C3S à Besançon

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Aujourd’hui, mercredi 20 mai, a lieu la deuxième session du séminaire  »Jeunes chercheurs » du Laboratoire C3S (Culture, Sport, Santé, Société) de l’Université de Franche-Comté, à Besançon pour l’année 2015.

Ce séminaire, porte sur « L’engagement et ses différentes figures », et donnera lieu à la publication d’un ouvrage collectif.

Les interventions seront réparties selon quatre thèmes : « L’engagement politique et citoyen », « l’engagement personnel », « l’engagement sportif » et pour finir, « l’engagement, les organisations et territoires ».

Jules Apénuvor est responsable recherche et développement chez VAE Les 2 Rives.
Au cours du premier thème, il présentera une communication intitulée : « Les obstacles au maintien de l’engagement dans une démarche de VAE. Une étude de cas de candidats accompagnés par le cabinet VAE Les 2 Rives ». Il s’agit des résultats d’une étude que Jules a menée auprès d’anciens candidats et de consultants du cabinet.

Etre papa booste la carrière professionnelle des hommes

Dans la carrière d’une femme, la maternité peut être vu comme un frein important. Elle peut même entrainer une baisse de salaire… Quel triste constat ! D’autant plus que la situation est totalement différente pour les hommes.

papa travail

Quand un homme avoue être père à son travail, sa côte d’appréciation augmente automatiquement. Pourquoi ? Parce qu’être papa prouve un certain équilibre et organisation chez un homme. C’est une sociologue américaine Michelle Budig qui affirme ce constat dans son dernier ouvrage « The Fatherhood Bonus and The Motherhood Penalty ».

Ces perles rares sont considérées plus responsables et plus stables alors que les mères seraient susceptibles de se laisser distraire. Grâce à ces qualités, il paraitrait que les employeurs n’hésitent pas à augmenter le salaire des papas. D’après les dires de la spécialiste qui a étudié l’évolution des salaires aux États-Unis durant ces 35 dernières années, il semblerait que le salaire des hommes augmenterait de 6% au moment de la naissance de leur premier enfant.

Autre avantage : dans le cadre d’une recherche d’emploi, un homme qui indique qu’il a des enfants sur son CV sera rappelé plus rapidement qu’un autre et se verra proposer un plus haut salaire.

Ce malheureux constat prouve une nouvelle fois un écart de salaire et une inégalité entre les hommes et les femmes. A savoir que les Américaines âgées de moins de 30 ans, sans enfant, touchent 93% du salaire d’un homme ayant un poste et des qualifications équivalentes. Une fois mamans, ces femmes gagnent plus que 76% du salaire des pères de famille. Alors que la paternité semble réussir aux hommes, la maternité contraint les femmes.