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Comment réussir sa reconversion professionnelle

Nous sommes nombreux à envisager la reconversion professionnelle pour des raisons aussi diverses que personnelles. Mais franchir le pas n’est pas évident et, bien souvent, on ne sait quel chemin emprunter pour entamer ce processus.

La reconversion professionnelle est souvent contrainte, consécutive à la perte d’un emploi. Mais elle peut également être le fruit du constat d’un décalage entre votre situation actuelle et ce que vous attendez de votre engagement professionnel. Quoi qu’il en soit, elle n’est que rarement un accident de parcours car elle a des causes identifiables et souvent prévisibles.

Se poser la question c’est ressentir le besoin de changement. Il reste à déterminer comment prendre un nouveau départ.

« Réussir sa reconversion, c’est une question de compétences et de motivation, mais également d’humilité et de sérieux », explique Xavier Bonduelle, Président de l’Institut du Management Des ressources Humaines (IMDRH). Et d’ajouter : « Il s’agit de compétences, parce qu’une reconversion ne souffre pas d’improvisation. Il s’agit aussi de motivation, car on ne se lance pas dans un projet par défaut, mais par envie. Et une reconversion est un projet de vie.»

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On vit dans un monde concurrentiel, y compris à l’intérieur de l’entreprise. Avoir envie, avoir des idées, avoir un projet … ne suffisent pas à faire de nous des experts.
Par contre, à côté de nous, dans le nouveau métier que nous allons aborder, il y aura des collègues (aussi des concurrents) qui auront l’expérience qui nous fait défaut et pas forcément de bienveillance à notre égard. Formez-vous, c’est le meilleur moyen d’acquérir de l’expérience qui vous manque sans vous faire croquer tout de suite !

Pour ceux qui se reconvertissent tout en restant salariés, il est capital qu’ils optent pour des formations qui conjuguent innovation et pragmatisme, notamment des formations en alternance. Il y a en effet deux moyens de faire la différence pour le candidat à la reconversion : être capable de faire bien tout de suite et être capable de mettre en place des solutions nouvelles qui séduiront son nouvel environnement professionnel.

Il est capital de compenser le manque d’expérience dans le nouveau domaine par un accompagnement avant et pendant la reconversion. Cela suppose une vraie humilité de la part de la personne en question, et un sérieux accompagnement de la part de l’encadrant.

Ce sont deux facteurs qui manquent parfois à ceux qui se reconvertissent pour un métier indépendant : commerce, restaurant, consulting… La franchise est de ce point de vue un excellent moyen de pallier ces écueils dès lors que le franchiseur est réputé actif dans le développement de ses franchisés.

L’expérience de la reconversion professionnelle volontaire, à la fois individuelle et sociale, prend aujourd’hui une place grandissante dans le monde du travail. Individuelle, parce qu’elle appartient en propre à l’individu qui en est le seul initiateur. Sociale, parce qu’elle concerne des univers sociaux multiples, et que le surinvestissement de la valeur du changement la place au centre des questions sur l’emploi et la formation.

Indicateur important des transformations sociales des rapports entre « individu et société », la reconversion professionnelle volontaire montre un individu aux prises avec des contraintes sociales fortes qu’il tente de résoudre afin de dégager des ressources pour agir sur son existence toute entière. D’où l’importance de la réussir pour avancer dans la vie au même rythme que ses désirs profonds.

L’utilisation du numérique au travail laisse l’humain au cœur des organisations

Les nouvelles technologies favoriseraient le bien-être et la performance au travail tout en laissant l’humain au cœur des organisations.

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La présence physique au bureau est une pratique dominante, bien que le télétravail emporte de plus en plus d’adeptes.

  • 72% des français sont convaincus que le bureau va continuer d’exister
  • Si 97% des salariés estiment travailler un minimum de temps au bureau, 61% d’entre eux y consacrent 75% de leur temps de travail

Les salariés sont plus concentrés au travail, quel que soit l’endroit où ils l’exercent, ils se disent plus attentifs et animés par un sens du résultat.

  • Pour 56% des personnes interrogées, travailler depuis chez elles comporte plusieurs atouts : moins de stress (50%), moins de fatigue et d’inconvénients liés aux transports (39% utilisent moins leur voiture), davantage de sommeil (27%)

  • Ainsi 71% des français adoptent volontiers le télétravail

Le numérique est bénéfique au bien-être au travail

Si les outils technologiques à la disposition des salariés se développent et rendent la frontière entre vie privée et professionnelle perméable, l’infographie révèle aussi que ces nouvelles possibilités accompagnent une qualité de vie au travail.

  • Pour 47 des salariés français, disposer de ces technologies constitue un argument positif
  • 44% des employés utilisent leurs propres terminaux à des fins professionnelles

L’humain demeure au cœur des organisations, le numérique ne lui prendra pas ce rôle

Malgré tout, les évolutions technologiques ne remplaceront pas les humains au travail, et cette infographie devrait renforcer la confiance des salariés dans leur avenir professionnel. La technologie ne peut se substituer aux expertises des salariés et remplacer les échanges IRL (In Real Life). L’URL n’est qu’un complément, et 60% des employés français restent persuadés de leur valeur ajoutée opérationnelle.

  • 39% des professionnels admettent communiquer en ligne avec leurs collègues et 26% d’entre eux, seulement, voient dans le numérique une contribution à leur productivité

  • En revanche, les personnes sondées sont enthousiastes concernant les perspectives que la technologie peut développer : la reconnaissance vocale à 94%, gestuelle à 89%
  • De nouvelles fonctionnalités ou usages sont évoqués : les voitures sans chauffeur par 79%, des traducteurs universels intégrés d’office pour des échanges internationaux en temps réel pour 94% ou des logiciels de correction automatique de base pour 92%
  • 53% pensent même que la forme holographique remplacera leur présence physique au bureau

L’humain demeure le pivot des organisations

Les évolutions technologiques ne remplaceront pas les humains au travail, et cette infographie devrait renforcer la confiance des salariés dans leur avenir professionnel. La technologie ne peut se substituer aux expertises des salariés et remplacer les échanges IRL (In Real Life). L’IRL n’est qu’un complément, et 60% des employés français restent persuadés de leur valeur ajoutée opérationnelle.

  • 39% des professionnels admettent communiquer en ligne avec leurs collègues et 26% d’entre eux, seulement, voient dans le numérique une contribution à leur productivité
  • En revanche, les personnes sondées sont enthousiastes concernant les perspectives que la technologie peut développer : la reconnaissance vocale à 94%, gestuelle à 89%
  • De nouvelles fonctionnalités ou usages sont évoqués : les voitures sans chauffeur par 79%, des traducteurs universels intégrés d’office pour des échanges internationaux en temps réel pour 94% ou des logiciels de correction automatique de base pour 92%
  • 53% pensent même que la forme holographique remplacera leur présence physique au bureau

Comment bien négocier son salaire à l’embauche ?

Lors d’un entretien d’embauche, la question cruciale du salaire se pose. En tant que candidat, il vous est possible de le négocier, mais comment ?

Il est d’abord essentiel d’attendre d’être en face de la personne qui souhaite vous rencontrer. Il est plutôt déconseillé d’en référer à des intermédiaires, tels que des cabinets de recrutement, qui pourraient vous estimer trop gourmand et donc vous écarter. En revanche, le responsable que vous rencontrerez pourra être plus enclin à accepter votre négociation après que vous l’ayez convaincu de vos compétences lors de votre entretien.

Puis, il ne faut pas avoir peur de parler de salaire. Il s’agit d’un élément clé, pour le candidat comme pour l’employeur. Savoir en discuter, le gérer et le négocier fait preuve de professionnalisme et de motivation. En effet, être capable de raisonnablement négocier à la hausse un salaire prouve que le candidat est confiant et compétent.

Il est important de bien savoir ce que chaque partie entend par « salaire » : salaire brut annuel ? Y a-t-il un treizième mois ? Des primes ? Une participation et/ou un intéressement ? Quelles sont les perspectives d’évolution ? Toutes ces questions sont à prendre en compte.

Enfin, ne parlez pas trop rapidement de salaire, il est essentiel d’attendre que ce soit l’employeur qui aborde le sujet. Sinon, dans le cas contraire, le candidat peut tout à fait aborder le sujet à la fin de l’entretien.

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On parle de nous dans Tem-actu

La méthode innovante de VAE « Les 2 rives » : 90% de taux de réussite

VAE « Les 2 rives » propose une solution de Validation des Acquis de l’Expérience offrant des taux de réussite particulièrement hauts.

Le diplôme, précieux sésame pour l’emploi

Alors même que nous entrons dans la saison estivale, synonyme pour les étudiants du collège à l’université, de période d’examens, certains, comme David Rivoire, qui a créé la société VAE Les 2 Rives, restent convaincus que les diplômes ne sont pas forcément nécessaires à une carrière réussie.

Etant donné l’importance qu’ils détiennent pourtant sur le marché français de l’emploi, la pression est très forte sur les bacheliers, les étudiants de deuxième et troisième cycle, mais aussi sur les personnes peu ou pas diplômées qui sont donc les moins susceptibles de trouver un poste.

L’expérience, une autre façon de prouver sa compétence

Heureusement, il existe des gens persuadés que la réussite scolaire n’est pas le seul tremplin vers la reconnaissance des compétences et la réussite professionnelle. David Rivoire notamment, se donne pour mission d’accompagner des candidats à la VAE, demandeurs d’emploi ou salariés. L’objectif est de leur permettre d’obtenir un diplôme, sans obligatoirement reprendre de formation ni passer d’examen, en valorisant leur expérience professionnelle, à condition que celle-ci ait duré au minimum trois ans et qu’elle soit en rapport avec le diplôme.

En cas de réussite, le candidat se verrait alors attribuer un véritable diplôme d’Etat. Une excellente opportunité pour ceux et celles dont le parcours académique se serait avéré insatisfaisant. Malheureusement, ce processus connaît un taux d’abandon énorme ; en cause notamment, des démarches administratives trop exigeantes et l’abondance des documents et justificatifs à fournir.

Une offre de formation adaptée

En s’appuyant sur ce constat, la société VAE « Les 2 rives », a su modeler son offre (formations collectives, associations, mise en ligne d’un blog sur le thème de la VAE -c’est ici-, conseils de financement) et cela fonctionne.

Ainsi, l’organisme affiche aujourd’hui des résultats record, avec un taux de réussite de 90% !  La société a déjà accompagné plus de 4000 VAE depuis sa création, à raison de 400 à 500 dossiers par an, et la demande ne cesse de croître.

En effet, la demande de VAE peut s’inclure dans des projets de formations en entreprise et même être financées par des programmes de type CPF (le Compte Personnel de Formation, qui remplace le DIF depuis janvier 2015), aussi, toute l’équipe de VAE « Les 2 rives » continue d’emmagasiner la confiance de clients prestigieux comme KPMG, Les Galeries Lafayette, ou encore Air France. De quoi créer des vocations et donner des idées à ceux et celles désirant investir dans la formation des moins qualifiés.

L’importance des comportements non-verbaux et du para-verbal en entretien

Pour préparer un entretien, il est primordial de savoir que les mots ne représentent que 7% de nos messages. 55% sont consacrés au visuel et 38% au ton de notre voix.

Qu’est ce que la communication non verbale ?
Selon Jacques Corraze, le terme de communication non verbale « s’applique aux gestes, à la posture, à l’orientation du corps, la singularité somatique naturelle ou artificielle, voire à des organisations d’objets, des rapports de distance entre individus, grâce auxquels une information est émise. »

Les différentes composantes de la communication non verbale sont :
– Les postures (soumission, domination, partage, ouverture, attitude de rejet ou d’évitement)
– Les mimiques du visage (le plissement du front, le sourire, le regard, le froncement des sourcils)
– Le regard, le contact visuel est très important, il met en éveil l’attention du public, il permet d’être présent aux autres et de détecter leurs réactions
– Les signaux vocaux (l’accent, la prononciation, le timbre, l’intensité, le ton)
– Les territoires (professionnel, familial, personnel)
– Les gestes (hochement de la tête d’avant en arrière, main tendue, point levé)

Il faut savoir que les expressions du visage ne sont pas conditionnées par la culture, elles sont universelles. Ainsi, les sept émotions de base sont : la colère, le dégoût, la haine, la surprise, la tristesse, la joie et la peur.

En entretien il est donc inévitable de maîtriser la communication non verbale en veillant à l’apparence vestimentaire, le regard, la tête et les expressions faciales, la posture, le toucher, et le comportement vocal.

Businessman gesturing with both hands.