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L’utilisation du numérique au travail laisse l’humain au cœur des organisations

Les nouvelles technologies favoriseraient le bien-être et la performance au travail tout en laissant l’humain au cœur des organisations.

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La présence physique au bureau est une pratique dominante, bien que le télétravail emporte de plus en plus d’adeptes.

  • 72% des français sont convaincus que le bureau va continuer d’exister
  • Si 97% des salariés estiment travailler un minimum de temps au bureau, 61% d’entre eux y consacrent 75% de leur temps de travail

Les salariés sont plus concentrés au travail, quel que soit l’endroit où ils l’exercent, ils se disent plus attentifs et animés par un sens du résultat.

  • Pour 56% des personnes interrogées, travailler depuis chez elles comporte plusieurs atouts : moins de stress (50%), moins de fatigue et d’inconvénients liés aux transports (39% utilisent moins leur voiture), davantage de sommeil (27%)

  • Ainsi 71% des français adoptent volontiers le télétravail

Le numérique est bénéfique au bien-être au travail

Si les outils technologiques à la disposition des salariés se développent et rendent la frontière entre vie privée et professionnelle perméable, l’infographie révèle aussi que ces nouvelles possibilités accompagnent une qualité de vie au travail.

  • Pour 47 des salariés français, disposer de ces technologies constitue un argument positif
  • 44% des employés utilisent leurs propres terminaux à des fins professionnelles

L’humain demeure au cœur des organisations, le numérique ne lui prendra pas ce rôle

Malgré tout, les évolutions technologiques ne remplaceront pas les humains au travail, et cette infographie devrait renforcer la confiance des salariés dans leur avenir professionnel. La technologie ne peut se substituer aux expertises des salariés et remplacer les échanges IRL (In Real Life). L’URL n’est qu’un complément, et 60% des employés français restent persuadés de leur valeur ajoutée opérationnelle.

  • 39% des professionnels admettent communiquer en ligne avec leurs collègues et 26% d’entre eux, seulement, voient dans le numérique une contribution à leur productivité

  • En revanche, les personnes sondées sont enthousiastes concernant les perspectives que la technologie peut développer : la reconnaissance vocale à 94%, gestuelle à 89%
  • De nouvelles fonctionnalités ou usages sont évoqués : les voitures sans chauffeur par 79%, des traducteurs universels intégrés d’office pour des échanges internationaux en temps réel pour 94% ou des logiciels de correction automatique de base pour 92%
  • 53% pensent même que la forme holographique remplacera leur présence physique au bureau

Comment lancer un brainstorming opérant

Le Brainstorming s’il est bien mené, peut donner des résultats extraordinaires. La méthode permet de rassembler la créativité de toute une équipe pour élaborer de nouvelles idées, perfectionner la qualité des services, communiquer sur des problématiques communes et se confronter à différents points de vue…On est plus créatifs à plusieurs.

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Plusieurs étapes sont nécessaires à son bon déroulement en vue de le rendre le plus productif possible :

– Tenez informés les participants de la réunion à l’avance. Vous devez formuler clairement le motif du brainstorming, énoncer le contexte.

– Choisir les participants en mélangeant des personnes de différents services, inviter des créatifs, des jeunes comme des anciens pour que les idées viennent d’horizons différents.

– Demandez aux participants de venir avec une liste de 5 ou 10 propositions pensées en amont pour gagner du temps.

– Préparez la réunion un jour avant, mettez des feutres et feuilles de papier à dispositions des participants pour que chaque idée émise ne soit pas oubliée.

-Prévoyez au moins 45 minutes de réunion dans une salle où il est possible d’exposer les papiers au mur afin d’avoir une vue d’ensemble au moment de choisir la meilleure idée.

– Au début de la réunion, rappelez que le Brainstorming doit laisser libre court à leurs idées, et donc qu’ils doivent marquer tout ce qui leur passe par la tête.

– Procédez à un vote à main levée et choisissez les 5 meilleures réponses puis la meilleure réponse.

– Faites un compte rendu juste après la réunion avec les résultats et toutes les suggestions, elles pourront re-servir pour une prochaine séance.

Témoignage de Véronique Flavigny, Directrice Formation chez Air France

Veronique Flavigny

Véronique Flavigny, Directrice Formation chez Air France,
nous parle de la mise en œuvre de la démarche VAE chez Air France.

Air France est engagé dans les démarches VAE depuis 10 ans avec l’accompagnement du groupe VAE Les 2 Rives. Aujourd’hui, plus de 400 personnes ont été accompagnées avec un taux de réussite très important (98%).
Pourquoi un tel taux de réussite ? Déjà parce on a choisi un cabinet qui a fait ses preuves, VAE Les 2 Rives, et d’autre part parce qu’on privilégie la VAE complète à la VAE partielle. C’est plus facile à mettre en œuvre, du côté des écoles et de l’université, mais aussi du coté des salariés ou de l’entreprise. Autant de raisons qui expliquent le succès de la démarche, qui se conclut toujours par l’obtention du diplôme adéquat.

Au départ, nous avions lancé cette démarche dans le domaine de la maintenance industrielle, tout ce qui concernait les formations techniques, puisque ce sont des professions très réglementés avec des certificats. Cela permettait aux candidats d’être reconnus au sein de leurs professions. Pour Air France c’est une manière de montrer au candidat que nous croyons en lui. Il est accompagné et nous prenons en charge à la fois les frais d’accompagnement, mais aussi les frais de jury.
Contrairement à ce que l’on croit, beaucoup de salariés sont rentrés sans diplôme chez Air France. Ils sont rentrés par « la petite porte » en tant qu’agent et les compétences qu’ils ont acquises n’étaient visibles ni de l’extérieur, ni pour l’entreprise en interne, ni pour eux-mêmes. Nous faisons aussi des VAE individuelles, parce qu’il nous semble important que ces compétences deviennent visibles pour les salariés eux-mêmes.

Aujourd’hui, on demande même aux personnes d’une cinquantaine d’années leur diplôme, y compris au sein de la population active. C’est un principe de réalité avec lequel il faut compter en France. J’ai été touchée par des salariés dans le cadre de de VAE collective, par le sentiment de fierté et d’enthousiasme que ça leur avait apporté. Vous le savez, Air France connait des hauts et des bas en ce moment, mais les salariés avec lesquels j’ai échangé étaient très enthousiastes, surpris par eux-mêmes et remotivés. Finalement, c’est principalement bénéfique pour le moral des salariés.

Pour l’entreprise, on a décidé de rentrer dans des VAE collectives, on s’appuie sur l’expérience des salariés, on les professionnalise dans leur métier et surtout, on cherche un référentiel de diplôme qui corresponde à la fonction qu’ils occupent.
Ca nous apporte aussi en termes d’employabilité, c’est un mot important ! On ne sait jamais ce qui peut arriver dans une vie, avant on faisait tous carrière chez Air France, mais je pense que ce sera de moins en moins le cas. La VAE permet de mieux sécuriser le parcours professionnel des salariés.
Ce qui m’intéresse aussi beaucoup dans la VAE, c’est l’incitation à réfléchir sur son propre parcours. Et à se rendre compte que l’on possède un savoir-faire qui a de la valeur. Ce qui également est intéressant dans la démarche de VAE c’est justement le côté académique, il faut prendre le temps de la formalisation, de la démonstration, raisonner et argumenter autour des compétences acquises par son parcours. Aujourd’hui dans le monde de l’entreprise il faut aller vite, agir vite et le temps de l’analyse est raccourci.

L’humain demeure le pivot des organisations

Les évolutions technologiques ne remplaceront pas les humains au travail, et cette infographie devrait renforcer la confiance des salariés dans leur avenir professionnel. La technologie ne peut se substituer aux expertises des salariés et remplacer les échanges IRL (In Real Life). L’IRL n’est qu’un complément, et 60% des employés français restent persuadés de leur valeur ajoutée opérationnelle.

  • 39% des professionnels admettent communiquer en ligne avec leurs collègues et 26% d’entre eux, seulement, voient dans le numérique une contribution à leur productivité
  • En revanche, les personnes sondées sont enthousiastes concernant les perspectives que la technologie peut développer : la reconnaissance vocale à 94%, gestuelle à 89%
  • De nouvelles fonctionnalités ou usages sont évoqués : les voitures sans chauffeur par 79%, des traducteurs universels intégrés d’office pour des échanges internationaux en temps réel pour 94% ou des logiciels de correction automatique de base pour 92%
  • 53% pensent même que la forme holographique remplacera leur présence physique au bureau

Une plateforme pour favoriser le prêt de salarié entre entreprises

Le site masolutionemploi.com met en relation des sociétés ayant besoin de main d’œuvre avec d’autres entreprises en période creuse d’activité. Une alternative aux licenciements économiques et au chômage partiel.

méconnue, le site masolutionemploi.com y croit et veut «favoriser le détachement des salariés d’entreprises». Cette plateforme facilite la mise en relation de sociétés ayant besoin de main d’œuvre avec celles qui sont en période de basse activité et qui peuvent mettre à disposition leurs employés. Elle est aussi «un outil à la dispositions des candidats salariés ou non (temps plein, temps partiel, sans emploi», explique Bertrand Le Hay, fondateur du site.

uvre et celles qui ont des employés disponibles s’inscrivent gratuitement sur la plateforme et font une demande de mise en relation. Le site fait alors le tri dans les profils et masolutionemploi.com prend contact avec la société qui a fait la demande pour lui présenter le candidat qu’elle juge le plus adapté. Le prêt est limité à 12 mois consécutifs et s’adresse à n’importe quel type d’entreprise, «petite ou grande». La plateforme se rémunère en facturant la prestation entre 3 à 15% calculés sur la base du salaire chargé de

L’Afterwork hivernal « Soirée Givrée » fut un succès !

Afin de célébrer les fêtes de fin d’année, de se retrouver et d’échanger autour de la VAE, les membres de l’ADVAE se sont réunis le jeudi 3 décembre dernier, à l’occasion de l’ Afterwork hivernal de l’ADVAE « Soirée Givrée ».

Les bureaux du groupe VAE Les 2 Rives ont accueilli près de 50 personnes ce qui en fait l’Afterwork le plus important. A chaque édition, vous êtes de plus en plus nombreux à participer et nous vous en remercions !

Parmi les temps forts de la soirée, David Rivoire, PDG du Groupe, a exprimé à nouveau  son plaisir d’accueillir les candidats et de les aider à s’engager dans cette démarche de validation des acquis. Nous remercions particulièrement Jacques Vienne, Directeur Général de l’entreprise FREY Investissement, d’avoir accepté de témoigner sur son expérience et sa satisfaction envers la VAE.

L’Afterwork a été un réel succès, nous vous remercions infiniment de votre présence !

Rejoignez-nous très prochainement pour un nouvel Afterwork qui réservera bien des surprises ! En attendant, nous vous laissons découvrir les photos.

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Qu’est-ce que le portage salarial et comment ça marche ?

Le portage salarial permet de travailler pour une entreprise sans forcément en être salarié directement ni même devoir créer une structure juridique pour facturer par exemple. Il est régi par l’article L. 1251-64 du Code du travail.

C’est une relation triangulaire entre une société de portage, une personne, « le porté » et une entreprise cliente. La personne portée est son propre patron. Elle définit son montant journalier, traite directement avec l’entreprise cliente sur les modalités du contrat et mandate une société de portage qui va assurer alors un rôle purement administratif de « connexion » entre deux entités.

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Pourquoi se tourner vers du portage salarial ?

Il est de plus en plus complexe de trouver un emploi en France. Le portage salarial est la solution à considérer pour un jeune par exemple : un statut salarié, pouvant amener à (re)générer des droits à allocation chômage, un statut protecteur du salariat et surtout une première expérience « encadrée » et valorisante tant pour le porté que pour l’entreprise qui s’assure un « recrutement » de bonne qualité.

Avoir confiance en soi au travail

Confiance en soi au travail

Si la confiance en soi est source de bonheur, son manque provoque bien des souffrances, y compris au travail. Se sentir compétent pour résoudre ses difficultés, pour gérer sa vie personnelle et professionnelle, c’est croire en soi. Cela s’apprend, se corrige ou se travaille. La confiance, c’est tout simplement, selon le dictionnaire le Robert, « le sentiment qui fait qu’on se fie à soi-même ». C’est un élan vital permettant d’accomplir ce que l’on doit faire dans l’existence. Ainsi, la confiance en soi est un précieux ressort qui alimente la volonté, la détermination, l’opiniâtreté, l’audace, la persévérance et l’ambition.

Comment avoir une juste conscience de sa valeur personnelle, comment avoir confiance en soi au travail ?
L’estime de soi se nourrit de deux sentiments essentiels : celui d’être aimé et le celui d’être compétent. Une personne qui n’a pas confiance en elle appréhende le jugement des autres. Cherchant à se faire apprécier, accepter, se montrant trop à l’écoute des réactions d’autrui, elle peut perdre de vue ses propres besoins et rencontrer de grandes difficultés à choisir, trancher, décider. « Une personne à haute estime de soi a envie de réussir, là où celle a basse estime de soi a peur d’échouer », explique Christophe André, psychiatre et psychothérapeute français.

Ainsi, pour gagner une confiance en soi durable, il faut abandonner certaines attitudes néfastes telles que se comparer aux autres continuellement, conserver un idéal de soi-même inaccessible, écouter ses voix intérieures dépréciatives, ne pas dire de mal de soi car les autres s’en chargent. Délaisser ces mauvaises habitudes, ne pas se laisser aller, développer la connaissance de soi, prendre soin de soi, être à l’écoute de ses besoins, sont des premiers réflexes de conservation de son intégrité et de reconquête de sa propre estime.

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Qu’appelle t-on le « syndrome de l’imposteur » ?

Aussi appelé syndrome de l’autodidacte, les personnes atteintes de ce syndrome expriment une forme de doute maladif qui consiste essentiellement à nier la propriété de tout accomplissement personnel. Ces personnes rejettent donc plus ou moins systématiquement le mérite lié à leur travail et attribuent le succès de leurs entreprises à des éléments qui leur sont extérieurs (la chance, un travail acharné, leurs relations, des circonstances particulières). Elles se perçoivent souvent comme des dupeurs-nés qui abusent leurs collègues, leurs amis, leurs supérieurs et s’attendent à être démasquées d’un jour à l’autre.

Le Mouves !

Le Mouvement des Entrepreneurs sociaux

 

Le Mouves et sa vision :

Le Mouvement des entrepreneurs sociaux (Mouves) est un mouvement qui fédère et représente des dirigeantes et dirigeants d’entreprises sociales partout en France ; des entrepreneurs qui ont choisi de placer l’efficacité économique au service de l’intérêt général.

Leurs entreprises sont de tailles très variées (de la micro-entreprise au grand groupe) et sont positionnées sur tous types de secteurs (commerce équitable, la prise en charge de la dépendance, filières de la croissance verte, filières de la santé, de l’informatique, etc.) avec  différents statuts : SA(S), association, coopérative, mutuelles, etc. Elles respectent toutes les critères de l’entreprise sociale du Mouves et assurent leur finalité sociale par une lucrativité nulle ou limitée.

Le MouvesMouves !

La mobilité professionnelle plait aux jeunes diplômés

Une étude réalisée par KPMG a récemment démontré que les jeunes diplômés seraient prêts à déménager régulièrement, voire même changer de pays pour leur emploi à condition que celui-ci réponde au mieux à leurs attentes. Mais quelles sont-elles ?

89% c’est le pourcentage d’interrogés prêts à déménager de façon régulière pour leur carrière, et 7% ont pour ambition de travailler dans au moins trois pays au cours de leur carrière professionnelle.

Cette mobilité professionnelle se retrouve également en interne au sein des entreprises puisque 77% n’envisagent pas de rester durant toute leur carrière dans la même entreprise.

Étonnamment, le salaire n’est pas un critère réellement déterminant, et ne figure même pas dans le Top 3. Les trois attentes prédominantes sont la recherche de défis professionnels, les opportunités de carrière et l’environnement de travail.

La quasi-totalité des étudiants interrogés recherche ainsi avant tout à avoir un impact positif sur la société dans laquelle ils évoluent.