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28 juin à Auxerre : Réunion d’information sur la VAE pour les particuliers

 

Le 28 juin 2018 à Auxerre de 17h30 à 18h30 Régis Ménard et Delphine Andrieux vous présenteront la Validation des Acquis de l’expérience et répondront à l’ensemble de vos questions.

Inscrivez-vous : cliquez-ici

15 candidats managers chez Partouche valident leur licence MAC

Le parcours métiers diplômant associant VAE et complément de formation est une réalité !!!

Un immense bravo aux 15 candidats managers chez Partouche qui viennent de valider leur licence MAC !!! Un beau partenariat avec l’université de Cergy.

La VAE c’est aussi un projet d’entreprise

Vous êtes Salarié, Demandeur d’emploi, artisan…, Êtes-vous éligible à la VAE ?

La VAE est ouverte à tous. Peu importe votre âge, votre statut (salarié, artisan, demandeur d’emploi etc.), ou votre niveau de formation vous pouvez accéder à un parcours de VAE.

Une seule condition : pouvoir justifier d’au moins un an (en continu ou non) d’activités en rapport direct avec la certification que vous visez.
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Vous avez une expérience professionnelle mais pas de diplôme en rapport avec celle-ci ?

La VAE est faîte pour vous

La Validation des Acquis de l’Expérience  peut vous permettre d’obtenir, sur décision d’un jury, un diplôme, un titre ou certificat de qualification sans avoir à suivre une formation.

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VAE Parcours diplômant chez AIR FRANCE

Lancement de la 4ième Promotion Learn2develop chez Air France. Parcours diplômant d’accompagnement des cadres à leur prise de fonction… avec Coaching individuel !!!

Au travers de cette formation les candidats valideront 4 des 15 blocs de compétences du programme grande école de Kedge Business School.

Comment réussir sa reconversion professionnelle

Nous sommes nombreux à envisager la reconversion professionnelle pour des raisons aussi diverses que personnelles. Mais franchir le pas n’est pas évident et, bien souvent, on ne sait quel chemin emprunter pour entamer ce processus.

La reconversion professionnelle est souvent contrainte, consécutive à la perte d’un emploi. Mais elle peut également être le fruit du constat d’un décalage entre votre situation actuelle et ce que vous attendez de votre engagement professionnel. Quoi qu’il en soit, elle n’est que rarement un accident de parcours car elle a des causes identifiables et souvent prévisibles.

Se poser la question c’est ressentir le besoin de changement. Il reste à déterminer comment prendre un nouveau départ.

« Réussir sa reconversion, c’est une question de compétences et de motivation, mais également d’humilité et de sérieux », explique Xavier Bonduelle, Président de l’Institut du Management Des ressources Humaines (IMDRH). Et d’ajouter : « Il s’agit de compétences, parce qu’une reconversion ne souffre pas d’improvisation. Il s’agit aussi de motivation, car on ne se lance pas dans un projet par défaut, mais par envie. Et une reconversion est un projet de vie.»

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On vit dans un monde concurrentiel, y compris à l’intérieur de l’entreprise. Avoir envie, avoir des idées, avoir un projet … ne suffisent pas à faire de nous des experts.
Par contre, à côté de nous, dans le nouveau métier que nous allons aborder, il y aura des collègues (aussi des concurrents) qui auront l’expérience qui nous fait défaut et pas forcément de bienveillance à notre égard. Formez-vous, c’est le meilleur moyen d’acquérir de l’expérience qui vous manque sans vous faire croquer tout de suite !

Pour ceux qui se reconvertissent tout en restant salariés, il est capital qu’ils optent pour des formations qui conjuguent innovation et pragmatisme, notamment des formations en alternance. Il y a en effet deux moyens de faire la différence pour le candidat à la reconversion : être capable de faire bien tout de suite et être capable de mettre en place des solutions nouvelles qui séduiront son nouvel environnement professionnel.

Il est capital de compenser le manque d’expérience dans le nouveau domaine par un accompagnement avant et pendant la reconversion. Cela suppose une vraie humilité de la part de la personne en question, et un sérieux accompagnement de la part de l’encadrant.

Ce sont deux facteurs qui manquent parfois à ceux qui se reconvertissent pour un métier indépendant : commerce, restaurant, consulting… La franchise est de ce point de vue un excellent moyen de pallier ces écueils dès lors que le franchiseur est réputé actif dans le développement de ses franchisés.

L’expérience de la reconversion professionnelle volontaire, à la fois individuelle et sociale, prend aujourd’hui une place grandissante dans le monde du travail. Individuelle, parce qu’elle appartient en propre à l’individu qui en est le seul initiateur. Sociale, parce qu’elle concerne des univers sociaux multiples, et que le surinvestissement de la valeur du changement la place au centre des questions sur l’emploi et la formation.

Indicateur important des transformations sociales des rapports entre « individu et société », la reconversion professionnelle volontaire montre un individu aux prises avec des contraintes sociales fortes qu’il tente de résoudre afin de dégager des ressources pour agir sur son existence toute entière. D’où l’importance de la réussir pour avancer dans la vie au même rythme que ses désirs profonds.

L’utilisation du numérique au travail laisse l’humain au cœur des organisations

Les nouvelles technologies favoriseraient le bien-être et la performance au travail tout en laissant l’humain au cœur des organisations.

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La présence physique au bureau est une pratique dominante, bien que le télétravail emporte de plus en plus d’adeptes.

  • 72% des français sont convaincus que le bureau va continuer d’exister
  • Si 97% des salariés estiment travailler un minimum de temps au bureau, 61% d’entre eux y consacrent 75% de leur temps de travail

Les salariés sont plus concentrés au travail, quel que soit l’endroit où ils l’exercent, ils se disent plus attentifs et animés par un sens du résultat.

  • Pour 56% des personnes interrogées, travailler depuis chez elles comporte plusieurs atouts : moins de stress (50%), moins de fatigue et d’inconvénients liés aux transports (39% utilisent moins leur voiture), davantage de sommeil (27%)

  • Ainsi 71% des français adoptent volontiers le télétravail

Le numérique est bénéfique au bien-être au travail

Si les outils technologiques à la disposition des salariés se développent et rendent la frontière entre vie privée et professionnelle perméable, l’infographie révèle aussi que ces nouvelles possibilités accompagnent une qualité de vie au travail.

  • Pour 47 des salariés français, disposer de ces technologies constitue un argument positif
  • 44% des employés utilisent leurs propres terminaux à des fins professionnelles

L’humain demeure au cœur des organisations, le numérique ne lui prendra pas ce rôle

Malgré tout, les évolutions technologiques ne remplaceront pas les humains au travail, et cette infographie devrait renforcer la confiance des salariés dans leur avenir professionnel. La technologie ne peut se substituer aux expertises des salariés et remplacer les échanges IRL (In Real Life). L’URL n’est qu’un complément, et 60% des employés français restent persuadés de leur valeur ajoutée opérationnelle.

  • 39% des professionnels admettent communiquer en ligne avec leurs collègues et 26% d’entre eux, seulement, voient dans le numérique une contribution à leur productivité

  • En revanche, les personnes sondées sont enthousiastes concernant les perspectives que la technologie peut développer : la reconnaissance vocale à 94%, gestuelle à 89%
  • De nouvelles fonctionnalités ou usages sont évoqués : les voitures sans chauffeur par 79%, des traducteurs universels intégrés d’office pour des échanges internationaux en temps réel pour 94% ou des logiciels de correction automatique de base pour 92%
  • 53% pensent même que la forme holographique remplacera leur présence physique au bureau

Hakima Seffih a accepté de témoigner sur son expérience avec l’association ADVAE du cabinet VAE Les 2 Rives

La VAE, c’est un pas que je souhaitais franchir, il y a déjà bien 10 ans. Mais je ne me sentais pas capable de concilier vie professionnelle, vie personnelle et VAE.

J’ai quitté le cursus scolaire en classe de première L et n’est donc pas eu mon BAC.

En mai 2014, je fus licenciée pour motif économique et je me suis décidée à franchir le pas.

La démarche avec l’ADVAE a commencé en juillet 2014 et s’est déroulée très rapidement. J’ai eu mon BTS Assistant de Manager le 10 février dernier avec les félicitations du jury.

Je voudrais remercier Anne Huguet qui a été très présente tout au long du chemin. Elle a su me guider dans mes choix, elle m’a parfois bousculée, cela a été difficile mais j’avais besoin d’un accompagnement soutenu. Elle m’a complètement aidé dans mon orientation, les échéances à tenir dont je n’avais pas connaissance initialement, elle m’a indiqué à qui je devais m’adresser pour les inscriptions mais aussi dans mes recherches.
Par ailleurs, c’était important pour moi de recevoir les encouragements et de sentir le soutien constant de mes enfants, mon mari et mes amis.

La flexibilité dont a fait preuve ma consultante m’a permis de concilier la VAE avec la recherche d’emploi. Cela a très bien fonctionné car nous nous sommes adaptées à nos contraintes respectives ; on travaille les week-ends, on se lève plus tôt le matin et on travaille plus tard le soir.

A la suite de cette expérience, j’ai retrouvé un poste d’assistante de direction dans mon secteur d’activité qui est la post-production audiovisuelle.

Jules Apénuvor au séminaire « Jeunes chercheurs » du Laboratoire C3S à Besançon

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Aujourd’hui, mercredi 20 mai, a lieu la deuxième session du séminaire  »Jeunes chercheurs » du Laboratoire C3S (Culture, Sport, Santé, Société) de l’Université de Franche-Comté, à Besançon pour l’année 2015.

Ce séminaire, porte sur « L’engagement et ses différentes figures », et donnera lieu à la publication d’un ouvrage collectif.

Les interventions seront réparties selon quatre thèmes : « L’engagement politique et citoyen », « l’engagement personnel », « l’engagement sportif » et pour finir, « l’engagement, les organisations et territoires ».

Jules Apénuvor est responsable recherche et développement chez VAE Les 2 Rives.
Au cours du premier thème, il présentera une communication intitulée : « Les obstacles au maintien de l’engagement dans une démarche de VAE. Une étude de cas de candidats accompagnés par le cabinet VAE Les 2 Rives ». Il s’agit des résultats d’une étude que Jules a menée auprès d’anciens candidats et de consultants du cabinet.

Diplôme, une arme contre le chômage et la précarité ?

Dans un marché du travail dont l’accès est devenu problématique, la détention d’un diplôme constitue une protection non-négligeable contre le risque du chômage.

L’entrée dans le monde du travail est facilitée par le diplôme, qui permet souvent une insertion plus rapide. Le risque de la précarité est, évidemment, lui aussi lié au niveau de formation.

Par ailleurs, le niveau de diplôme a aussi une forte influence sur les niveaux de rémunération : selon certaines études, une année d’études supérieures entraînerait entre 5 et 15 % de revenus supplémentaires.

On peut donc considérer que la recherche d’une qualification professionnelle par la poursuite des études s’apparente à un investissement dans le capital humain qui se révèle rentable.

 

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