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« La loi du marché » : le nouveau film social
Peut-on tout accepter pour un travail ? C’est la question que pose le film La loi du marché, actuellement en compétition au Festival de Cannes et sorti en salles la semaine dernière.
Vincent Lindon joue un cinquantenaire au chômage, allant d’entretien d’embauche en entretien d’embauche jusqu’à finalement accepter un poste d’agent de sécurité dans un hypermarché. Il va petit à petit se retrouver dans une situation insoutenable puisque le directeur, qui souhaite licencier du personnel, lui demande de surveiller les employés.
Ce film est particulièrement réaliste dans la mesure où la majorité des personnages ne sont pas joués par des acteurs mais par des non-professionnels, jouant l’emploi qu’ils exercent dans la vie.
Les candidats sont-ils tous des menteurs ?
Le Curriculum Vitae peut-il toujours être considéré comme l’honnête description des parcours des candidats ?
D’après une étude menée il y a un an par le réseau Florian Mantione Institut, 3/4 des CV des candidats ne reflèteraient pas la vérité et 1 employeur sur 3 n’en vérifierait pas les données.
Parmi les candidats les plus malhonnêtes, figurent les commerciaux (cités par 75 % des entreprises), les managers (52 %), les techniciens et les ingénieurs (36 %) et les administratifs (26 %). Le plus souvent, les candidats trompent leurs employeurs en déformant la réalité des postes qu’ils ont effectués ou en élargissant leur zone de travail.
Mais il existe bien d’autres éléments sur lesquels ils peuvent enjoliver la vérité comme : les langues, la rémunération réelle, l’adresse postale…
Pourquoi alors les candidats prennent-ils ce risque ?
Facile. L’avènement du web explique les comportements des chercheurs d’emplois. Habitués à postuler à une offre depuis les sites carrières des entreprises, les candidats semblent peu impliqués dans l’acte de saisir leurs informations professionnelles en ligne. Ils se sentent alors plus libres de répondre en ajustant leur carrière aux besoins des entreprises qui recrutent de moins en moins et qui recherchent des CV exemplaires.
Malgré cette tendance, nous vous conseillons de toujours rester honnête, car même si peu d’employeurs vérifient l’exactitude des informations, 1 fois sur 3, après l’avoir fait, le candidat est éliminé.
Sophie Mandrillon, diplômée du Master Grande Ecole de Montpellier Business School par la VAE
Montpellier Business School est l’une des rares Grandes Ecoles de Management à proposer une démarche VAE permettant l’octroi de son diplôme Master Grande Ecole. En 2015, faisant toujours partie des établissements pionniers, elle compte déjà, parmi 23 candidats présentés et accompagnés spécifiquement, 17 « full » diplômés du Master Grande Ecole par la VAE. Entretien avec l’une des lauréates du jury 2015 : Madame Sophie Mandrillon responsable marketing chez Atout France.
Sophie se définit elle-même comme ayant le goût des challenges. A 30 ans, à un moment clé de sa carrière, elle décide, en parallèle de son activité professionnelle de bousculer tous ses acquis pour faire le point sur ses compétences. « Après ma licence professionnelle dédiée aux fonctions internationales, j’avais décidé de travailler ! L’opportunité était là, à Londres, mon stage de fin d’études se transformait en contrat. Mais, je crois qu’au fond, j’ai toujours su que je reviendrai aux études sans avoir envisagé la manière de le faire. Après plusieurs évolutions de poste dans ma carrière, à un âge clé, j’ai souhaité trouver une formation reconnue à l’international et diplômante pour faire un travail de remise à plat et de valorisation de mes compétences » précise-t-elle.
Reprendre des études oui, dans un cadre, mais aussi à certaines conditions ! Celle notamment de ne pas arrêter sa carrière professionnelle. « On n’est plus du tout dans la perspective unique de reprendre des cours ! » Sophie regarde les MBA mais elle se trouve bien trop jeune. Elle découvre enfin la VAE. Atout France, son employeur appuie sa démarche. Partenaire avec le cabinet « les 2 rives », elle lui fait rencontrer David Rivoire et surtout Vincent Causse, associé du cabinet.
« Si j’ai un conseil à donner à ceux qui recherchent une formation diplômante en parallèle de leur vie professionnelle, je leur recommande vraiment un accompagnement. J’ai trouvé chez les 2 Rives et chez mon « coach » le moteur indispensable dont j’avais besoin pour rédiger mon dossier de preuves qui fait plus de 200 pages tout de même ! Ce travail que j’ai effectué est une vraie remise à plat globale pour structurer mon parcours, l’expliquer, c’est presque une psychothérapie du travail (rires) car il s’agit de parler de soi, de le contextualiser, de l’évaluer. Cela m’a permis d’avoir une vision très globale, d’acter mes forces et de changer immédiatement certaines de mes postures managériales » précise-t-elle. « Et au-delà de la conception du dossier de preuves, pour lequel on croit très naïvement, au départ, que ça va être « easy » il y a les modules et les cours ! J’ai été ravie de travailler avec l’équipe pédagogique de Montpellier Business School. Les professeurs Mickaël Géraudel, Patrick Mahé et David Roubaud pour les 3 modules de Stratégie d’Entreprise, Management et Finance ont pris le temps de comprendre mon environnement pour adapter leur enseignement… J’ai adoré ce retour en formation personnalisée … tout en ayant maudit un peu parfois le e-learning quand je révisais le week-end ! J’ai pu réussir ce diplôme avec leur aide et celle de mon entreprise, bien sûr, mais surtout avec le total soutien de mon conjoint qui durant 7 mois a accepté ma vie d’étudiante professionnelle. Un diplôme Bac+5 par la VAE est donc une affaire collective ! »
Contact : Sophie.mandrillon@gmail.com
Jules Apénuvor au séminaire « Jeunes chercheurs » du Laboratoire C3S à Besançon
Aujourd’hui, mercredi 20 mai, a lieu la deuxième session du séminaire »Jeunes chercheurs » du Laboratoire C3S (Culture, Sport, Santé, Société) de l’Université de Franche-Comté, à Besançon pour l’année 2015.
Ce séminaire, porte sur « L’engagement et ses différentes figures », et donnera lieu à la publication d’un ouvrage collectif.
Les interventions seront réparties selon quatre thèmes : « L’engagement politique et citoyen », « l’engagement personnel », « l’engagement sportif » et pour finir, « l’engagement, les organisations et territoires ».
Jules Apénuvor est responsable recherche et développement chez VAE Les 2 Rives.
Au cours du premier thème, il présentera une communication intitulée : « Les obstacles au maintien de l’engagement dans une démarche de VAE. Une étude de cas de candidats accompagnés par le cabinet VAE Les 2 Rives ». Il s’agit des résultats d’une étude que Jules a menée auprès d’anciens candidats et de consultants du cabinet.
Etre papa booste la carrière professionnelle des hommes
Dans la carrière d’une femme, la maternité peut être vu comme un frein important. Elle peut même entrainer une baisse de salaire… Quel triste constat ! D’autant plus que la situation est totalement différente pour les hommes.
Quand un homme avoue être père à son travail, sa côte d’appréciation augmente automatiquement. Pourquoi ? Parce qu’être papa prouve un certain équilibre et organisation chez un homme. C’est une sociologue américaine Michelle Budig qui affirme ce constat dans son dernier ouvrage « The Fatherhood Bonus and The Motherhood Penalty ».
Ces perles rares sont considérées plus responsables et plus stables alors que les mères seraient susceptibles de se laisser distraire. Grâce à ces qualités, il paraitrait que les employeurs n’hésitent pas à augmenter le salaire des papas. D’après les dires de la spécialiste qui a étudié l’évolution des salaires aux États-Unis durant ces 35 dernières années, il semblerait que le salaire des hommes augmenterait de 6% au moment de la naissance de leur premier enfant.
Autre avantage : dans le cadre d’une recherche d’emploi, un homme qui indique qu’il a des enfants sur son CV sera rappelé plus rapidement qu’un autre et se verra proposer un plus haut salaire.
Ce malheureux constat prouve une nouvelle fois un écart de salaire et une inégalité entre les hommes et les femmes. A savoir que les Américaines âgées de moins de 30 ans, sans enfant, touchent 93% du salaire d’un homme ayant un poste et des qualifications équivalentes. Une fois mamans, ces femmes gagnent plus que 76% du salaire des pères de famille. Alors que la paternité semble réussir aux hommes, la maternité contraint les femmes.
Le Groupe VAE Les 2 Rives fête les 10 ans de sa création !
En 2005, suite à la parution des premiers décrets d’application de la loi de modernisation sociale concernant la VAE, David Rivoire fonde VAE Les 2 Rives, et développe ainsi une méthodologie certifiée pour l’accompagnement sur-mesure de la VAE.
Pour répondre le mieux possible aux problématiques des entreprises et des particuliers, VAE Les 2 Rives s’est développé en complément de ses filiales Transition RH, (l’Expert en conseil RH et bilan de compétences) et Tremplin VAE, (1er réseau national d’accompagnateurs VAE et bilan de compétences).
Aujourd’hui le groupe souffle ses bougies, et l’équipe est fière de constater que depuis 10 ans, VAE Les 2 Rives c’est :
- 4000 candidats à la VAE
- Une qualification OPQF
- Des « afterworks » réguliers dans le but de développer le réseau professionnel des candidats
- Des actions gratuites mise en place en faveur des demandeurs d’emploi
- Plus de 90% de taux de réussite
- Une société commerciale qui fonctionne en autonomie sans subvention publique
- Un accompagnement express à distance selon vos besoins
A l’occasion de cet anniversaire nous souhaitons remercier à nouveau tous ceux qui nous font confiance et qui ont contribué à l’accomplissement de nos services.
Et on ne va pas vous donner rendez-vous dans 10 ans car on aimerait vous voir avant !
On parle de VAE Les 2 Rives dans le Parisien Economie
La validation des acquis de l’expérience permet à des salariés d’obtenir une certification en rapport avec leurs compétences réelles. Une démarche que les entreprises ont intérêt à encourager…
Retrouvez l’article complet en ligne à la page 20 du Parisien Economie
Zoom sur le Compte Personnel de Formation (CPF)
Considéré comme l’une des mesures phares de la loi du 5 mars 2014 relative à la formation professionnelle, à l’emploi et à la démocratie sociale, le CPF est entré en application à partir du 1er janvier 2015, remplaçant ainsi le DIF.
Répondant au principe d’universalité de la formation tout au long de la vie, le CPF a vocation à accompagner l’individu, salarié ou non, dès son entrée dans la vie active jusqu’à sa retraite. Il est constitué d’un nombre d’heures capitalisées durant les périodes d’activité professionnelle, et mobilisables par son titulaire pour bénéficier d’actions de formation entrant dans les critères d’éligibilité définies par le législateur. Il peut en effet s’agir de :
- formations permettant d’acquérir le socle de connaissances et de compétences ;
- formations sanctionnées par une certification enregistrée au RNCP ;
- formations débouchant sur un CQP ;
- formations sanctionnées par les certifications inscrites sur la Liste Nationale Interprofessionnelle (LNI) ;
- formations permettant la qualification des personnes en recherche d’emploi et financées par les Régions, le Pôle Emploi et l’Agefiph ;
- ou d’actions d’accompagnement à la VAE.
L’accès à ces formations peut, selon que celles-ci se déroulent ou non en dehors du temps de travail, nécessiter l’accord préalable de l’employeur.
Dématérialisé et accessible au seul titulaire, le CPF est annuellement alimenté en heures de formation, proportionnellement au temps de travail. À titre d’exemple, un salarié travaillant en temps plein acquiert 24 heures par an pendant cinq ans (120h), puis 12h par an pendant trois ans, jusqu’à l’atteinte du plafond de 150 heures sur son CPF.
Ce compte peut éventuellement bénéficier d’abondements provenant notamment de l’employeur (en cas de pénalité ou d’accord d’entreprise), du Pôle Emploi, des Régions, de l’Agefiph, des organismes paritaires, ou encore de son titulaire, en vue de l’accumulation du nombre d’heures nécessaires pour l’accès à une formation par exemple.
Le législateur a, par ailleurs, prévu un mécanisme permettant d’articuler le DIF et le CPF. Les heures acquises au titre du DIF au 31 décembre 2014 peuvent ainsi être mobilisées jusqu’au 1er janvier 2021 dans le cadre du CPF, en respectant évidemment le plafond de 150 heures.
Pour aller plus loin…
http://www.moncompteformation.gouv.fr/
L’afterwork printanier fut un succès !
Le mercredi 25 mars, les membres de l’ADVAE ont, une fois de plus, fait de l’afterwork périodique un moment gai et dynamique. Au sein des bureaux du groupe VAE Les 2 rives, des diplômés de la VAE et des candidats se sont réunis pour échanger autour d’un buffet salé et sucré dans une ambiance « Pâques avant l’heure ! ».
Parmi les temps forts de la soirée, David Rivoire, PDG du Groupe, a exprimé à nouveau son plaisir d’accueillir les candidats et de les aider à s’engager dans cette démarche de validation des acquis. Nous remercions particulièrement Rachel Boulade et Hakima Seffie d’avoir accepté de témoigner sur leur expérience et leur satisfaction.
L’afterwork a été un réel succès, nous vous remercions infiniment de votre présence !
Rejoignez-nous très prochainement pour un nouvel Afterwork qui réservera bien des surprises !
En attendant, nous vous laissons découvrir les photos.
Forum mondial IMPACT²
Le forum mondial IMPACT², organisé sous le Haut Patronage du Président de la République, a pour objectif de promouvoir l’entrepreneuriat social et son financement auprès de décideurs publics, chefs d’entreprises et des investisseurs du monde entier.
La 4ème édition de cet évènement se tiendra le 2 avril 2015 à l’Hôtel de Ville de Paris. 1500 décideurs venus de près de 50 pays sont attendus à cette occasion. Depuis sa création en 2012, le forum mondial IMPACT² a rassemblé 4500 dirigeants, parmi eux, Michel BARNIER, le Pr. Muhammad YUNUS, Franck RIBOUD ou Sir Ronald COHEN. IMPACT² est organisé par Le Comptoir de l’Innovation en partenariat avec la Ville de Paris, KPMG et BNP Paribas.
Inscription et programme sur www.impact2.eu