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L’Afterwork hivernal « Soirée Givrée » fut un succès !

Afin de célébrer les fêtes de fin d’année, de se retrouver et d’échanger autour de la VAE, les membres de l’ADVAE se sont réunis le jeudi 3 décembre dernier, à l’occasion de l’ Afterwork hivernal de l’ADVAE « Soirée Givrée ».

Les bureaux du groupe VAE Les 2 Rives ont accueilli près de 50 personnes ce qui en fait l’Afterwork le plus important. A chaque édition, vous êtes de plus en plus nombreux à participer et nous vous en remercions !

Parmi les temps forts de la soirée, David Rivoire, PDG du Groupe, a exprimé à nouveau  son plaisir d’accueillir les candidats et de les aider à s’engager dans cette démarche de validation des acquis. Nous remercions particulièrement Jacques Vienne, Directeur Général de l’entreprise FREY Investissement, d’avoir accepté de témoigner sur son expérience et sa satisfaction envers la VAE.

L’Afterwork a été un réel succès, nous vous remercions infiniment de votre présence !

Rejoignez-nous très prochainement pour un nouvel Afterwork qui réservera bien des surprises ! En attendant, nous vous laissons découvrir les photos.

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Qu’est-ce que le portage salarial et comment ça marche ?

Le portage salarial permet de travailler pour une entreprise sans forcément en être salarié directement ni même devoir créer une structure juridique pour facturer par exemple. Il est régi par l’article L. 1251-64 du Code du travail.

C’est une relation triangulaire entre une société de portage, une personne, « le porté » et une entreprise cliente. La personne portée est son propre patron. Elle définit son montant journalier, traite directement avec l’entreprise cliente sur les modalités du contrat et mandate une société de portage qui va assurer alors un rôle purement administratif de « connexion » entre deux entités.

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Pourquoi se tourner vers du portage salarial ?

Il est de plus en plus complexe de trouver un emploi en France. Le portage salarial est la solution à considérer pour un jeune par exemple : un statut salarié, pouvant amener à (re)générer des droits à allocation chômage, un statut protecteur du salariat et surtout une première expérience « encadrée » et valorisante tant pour le porté que pour l’entreprise qui s’assure un « recrutement » de bonne qualité.

Avoir confiance en soi au travail

Confiance en soi au travail

Si la confiance en soi est source de bonheur, son manque provoque bien des souffrances, y compris au travail. Se sentir compétent pour résoudre ses difficultés, pour gérer sa vie personnelle et professionnelle, c’est croire en soi. Cela s’apprend, se corrige ou se travaille. La confiance, c’est tout simplement, selon le dictionnaire le Robert, « le sentiment qui fait qu’on se fie à soi-même ». C’est un élan vital permettant d’accomplir ce que l’on doit faire dans l’existence. Ainsi, la confiance en soi est un précieux ressort qui alimente la volonté, la détermination, l’opiniâtreté, l’audace, la persévérance et l’ambition.

Comment avoir une juste conscience de sa valeur personnelle, comment avoir confiance en soi au travail ?
L’estime de soi se nourrit de deux sentiments essentiels : celui d’être aimé et le celui d’être compétent. Une personne qui n’a pas confiance en elle appréhende le jugement des autres. Cherchant à se faire apprécier, accepter, se montrant trop à l’écoute des réactions d’autrui, elle peut perdre de vue ses propres besoins et rencontrer de grandes difficultés à choisir, trancher, décider. « Une personne à haute estime de soi a envie de réussir, là où celle a basse estime de soi a peur d’échouer », explique Christophe André, psychiatre et psychothérapeute français.

Ainsi, pour gagner une confiance en soi durable, il faut abandonner certaines attitudes néfastes telles que se comparer aux autres continuellement, conserver un idéal de soi-même inaccessible, écouter ses voix intérieures dépréciatives, ne pas dire de mal de soi car les autres s’en chargent. Délaisser ces mauvaises habitudes, ne pas se laisser aller, développer la connaissance de soi, prendre soin de soi, être à l’écoute de ses besoins, sont des premiers réflexes de conservation de son intégrité et de reconquête de sa propre estime.

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Qu’appelle t-on le « syndrome de l’imposteur » ?

Aussi appelé syndrome de l’autodidacte, les personnes atteintes de ce syndrome expriment une forme de doute maladif qui consiste essentiellement à nier la propriété de tout accomplissement personnel. Ces personnes rejettent donc plus ou moins systématiquement le mérite lié à leur travail et attribuent le succès de leurs entreprises à des éléments qui leur sont extérieurs (la chance, un travail acharné, leurs relations, des circonstances particulières). Elles se perçoivent souvent comme des dupeurs-nés qui abusent leurs collègues, leurs amis, leurs supérieurs et s’attendent à être démasquées d’un jour à l’autre.

Le Mouves !

Le Mouvement des Entrepreneurs sociaux

 

Le Mouves et sa vision :

Le Mouvement des entrepreneurs sociaux (Mouves) est un mouvement qui fédère et représente des dirigeantes et dirigeants d’entreprises sociales partout en France ; des entrepreneurs qui ont choisi de placer l’efficacité économique au service de l’intérêt général.

Leurs entreprises sont de tailles très variées (de la micro-entreprise au grand groupe) et sont positionnées sur tous types de secteurs (commerce équitable, la prise en charge de la dépendance, filières de la croissance verte, filières de la santé, de l’informatique, etc.) avec  différents statuts : SA(S), association, coopérative, mutuelles, etc. Elles respectent toutes les critères de l’entreprise sociale du Mouves et assurent leur finalité sociale par une lucrativité nulle ou limitée.

Le MouvesMouves !

La mobilité professionnelle plait aux jeunes diplômés

Une étude réalisée par KPMG a récemment démontré que les jeunes diplômés seraient prêts à déménager régulièrement, voire même changer de pays pour leur emploi à condition que celui-ci réponde au mieux à leurs attentes. Mais quelles sont-elles ?

89% c’est le pourcentage d’interrogés prêts à déménager de façon régulière pour leur carrière, et 7% ont pour ambition de travailler dans au moins trois pays au cours de leur carrière professionnelle.

Cette mobilité professionnelle se retrouve également en interne au sein des entreprises puisque 77% n’envisagent pas de rester durant toute leur carrière dans la même entreprise.

Étonnamment, le salaire n’est pas un critère réellement déterminant, et ne figure même pas dans le Top 3. Les trois attentes prédominantes sont la recherche de défis professionnels, les opportunités de carrière et l’environnement de travail.

La quasi-totalité des étudiants interrogés recherche ainsi avant tout à avoir un impact positif sur la société dans laquelle ils évoluent.

Comment bien négocier son salaire à l’embauche ?

Lors d’un entretien d’embauche, la question cruciale du salaire se pose. En tant que candidat, il vous est possible de le négocier, mais comment ?

Il est d’abord essentiel d’attendre d’être en face de la personne qui souhaite vous rencontrer. Il est plutôt déconseillé d’en référer à des intermédiaires, tels que des cabinets de recrutement, qui pourraient vous estimer trop gourmand et donc vous écarter. En revanche, le responsable que vous rencontrerez pourra être plus enclin à accepter votre négociation après que vous l’ayez convaincu de vos compétences lors de votre entretien.

Puis, il ne faut pas avoir peur de parler de salaire. Il s’agit d’un élément clé, pour le candidat comme pour l’employeur. Savoir en discuter, le gérer et le négocier fait preuve de professionnalisme et de motivation. En effet, être capable de raisonnablement négocier à la hausse un salaire prouve que le candidat est confiant et compétent.

Il est important de bien savoir ce que chaque partie entend par « salaire » : salaire brut annuel ? Y a-t-il un treizième mois ? Des primes ? Une participation et/ou un intéressement ? Quelles sont les perspectives d’évolution ? Toutes ces questions sont à prendre en compte.

Enfin, ne parlez pas trop rapidement de salaire, il est essentiel d’attendre que ce soit l’employeur qui aborde le sujet. Sinon, dans le cas contraire, le candidat peut tout à fait aborder le sujet à la fin de l’entretien.

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Le co-working, la solution des jeunes entreprises

Le co-working est une nouvelle solution qui a tout pour séduire les jeunes entreprises. En effet, au moment de la création de son entreprise, ses dirigeants n’ont pas nécessairement les moyens d’acheter ou de louer un espace. Si certains sont assez indépendants et mobiles, d’autres préfèrent avoir un lieu de travail, et ce d’autant plus en cas de recrutement d’un collaborateur ou d’un stagiaire par exemple.

Qu’est-ce que le co-working ?

Le co-working consiste en des locaux mis à la disposition d’entrepreneurs ou indépendants qui y louent un espace, à un coût bien moins élevé qu’une location dite classique, et partagés par d’autres co-workers. Toutes les fournitures et infrastructures nécessaires à une entreprise y sont alors disponibles : bureaux, connexion Internet, salles de réunion, toilettes, rangement, imprimantes….

Quels sont les avantages du co-working ?

– les tarifs de location sont bien moins élevés que ceux d’un bureau privé ;
– il s’agit d’un vrai cadre de travail, permettant la concentration ;
– vie professionnelle et vie personnelle sont bien séparées ;
– l’interaction sociale avec les co-workers permet de rompre l’isolement, d’améliorer la créativité et de partager ;
– certains espaces proposent également des événements divers (conférences, ateliers de formation, expositions, activités sportives…)

Coworking

Le slow management : replacer l’humain au coeur de l’entreprise

Le monde de l’entreprise est souvent synonyme de stress et de fatigue, et ce d’autant plus en cas de contexte économique instable.

Un nouveau type de management, récemment venu des Etats-Unis, a pour mission de contrer cela et de rétablir un certain bien-être au coeur de l’entreprise afin de gagner en performance. Le slow management consiste donc à ralentir pour mieux produire. 

Il repose sur trois points fondamentaux : l’écoute de l’autre, la confiance et l’estime et enfin la prise de décisions.

Il est important d’ouvrir un espace de discussion pour que manager et employé puissent échanger. La cafétéria de l’entreprise peut alors devenir un lieu à privilégier afin de créer du lien, un contact plus informel. Cela permettra d’encourager les initiatives, l’autonomie et la créativité. Les collaborateurs se sentiront valorisés et gagneront en confiance. 

On peut également pousser le principe du slow management jusqu’à ne plus avoir de postes définis, mais que chacun travaille en équipe se répartisse les tâches selon leurs envies et leurs compétences. De cette manière, un esprit de solidarité se met en place, et chacun se responsabilise, ce qui ne fait qu’accroître la productivité.

Alors ralentissons, la culture de l’urgence n’est plus à l’ordre du jour !

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Les 5 grands stéréotypes féminins et masculins en entreprise

Préjugés et stéréotypes sont très courants en entreprise, aussi bien concernant les femmes que les hommes. Mais quels sont-ils ?

Voici les 5 grands stéréotypes concernant les femmes :

1. Elles privilégient leur vie de famille

2. Elles ne sont pas disponibles

3. Elles manquent de confiance en elles

4. Elles montrent leurs émotions

5. Elles ne sont pas carriéristes

Et voici les 5 grands stéréotypes concernant les hommes :

1. Ils sont disponibles

2. Ils veulent privilégier leur carrière professionnelle

3. Ils sont attirés par le pouvoir

4. Ils sont sûrs d’eux

5. Ils résistent au stress

Bien que la mixité en entreprise progresse, on remarque encore un fort décalage entre l’image qu’ont les femmes et celles des hommes.

Stéréotypes

Les bienfaits de l’humour au travail

Au travail, l’humour engendre la joie et le plaisir d’être ensemble
Peut-on travailler sérieusement et rire entre collègues ?
L’humour au travail, s’il est bien maîtrisé peut faciliter l’acceptation de ses propres limites et imperfections, aider à prendre du recul et motiver les équipes.
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D’après le dictionnaire,  » l’humour est une forme d’esprit qui souligne avec ironie et détachement les aspects plaisants, drôles et insolites de la réalité « . Cette forme d’esprit s’exerce et l’on remarque que les gens drôles sont agréables à vivre car ils installent un climat de détente et mettent l’ambiance.

Dans un contexte familial ou amical, l’humour trouve naturellement sa place. Quelle place laisse-t-on a l’humour dans l’entreprise ? Pourquoi est-il si important de rire entre collègues ? Peut-on travailler correctement dans un esprit détendu ?

Erfolgreiche Studenten halten Daumen hoch

Celui qui a le talent est doué d’une forme d’intelligence particulière, l’intelligence linguistique, qui lui donne le sens de la répartie, lui permet de jouer avec les mots et de raconter les histoires. Il regarde la réalité de manière décalée et prend un plaisir contagieux à traduire et dessiner sa vision devant les autres.

Au travail, il y a l’humour qui embarrasse et celui qui permet de décompresser, celui qui divise et celui qui rassemble, celui qui casse et celui qui flatte. L’humour bienveillant : il n’enfonce pas la personne mais lui offre une véritable occasion de reconnaissance et de valorisation.

Rire est excellent pour la santé. Il fait bénéficier le cerveau d’un apport accru en oxygène, il rééduque et dynamise le rythme respiratoire et il élimine toxines en intensifiant les échanges respiratoires. Ainsi, le rire a des effets déstressants. Surtout, l’humour provoque de la joie, permet l’évasion hors du rationnel et accroît le plaisir d’être ensemble.

Comment faire pour rire plus au travail?
Il faut garder la bonne distance avec les soucis relatifs au travail. Chacun a son rôle à tenir pour assurer un bonne ambiance au travail.