Presse évasion parle de VAE Les 2 Rives et de notre intervention à Auxerre

Presse Evasion, parle de notre récente intervention à Auxerre, By juin 09, 2018.
 

« Les parcours de VAE peuvent s’échelonner de six à huit mois selon le diplôme requis. Une fois déterminé, il restera à trouver le bon organisme certificateur et rester en cohérence avec son projet initial. C’est là que les exégètes de ce dispositif, à travers la structure VAE LES 2 RIVES, interviennent en accompagnant de manière optimale l’ensemble des acteurs de ce procédé qui permet de valoriser les expériences acquises au fil de sa carrière afin de continuer à progresser… « La gestion du stress des candidats est en cela prépondérante lors de la soutenance du dossier, constate Delphine ANDRIEUX, l’une des deux accompagnatrices de la structure dans l’Yonne, avec Régis MERARD (en blanc sur la photo en bas de texte). ». Crédit Photos : Thierry BRET.

Ouverte aux dirigeants et correspondants des ressources humaines, la séance explicative autour d’une meilleure connaissance de la VAE (validation des acquis de l’expérience) aura mobilisé une vingtaine de personnes à Auxerre. Consultants accompagnateurs à la maîtrise de cette pratique professionnelle, deux intervenants de la société VAE LES 2 RIVES, Delphine ANDRIEUX et Régis MERARD, ont eu le loisir de pouvoir prodiguer conseils et recommandations à leur auditoire, réuni dans les locaux de la Fédération départementale du bâtiment de l’Yonne. Sous le sceau du spécialiste national, VAE LES 2 RIVES…

AUXERRE : Exerçant leur savoir-faire auprès d’entreprises de toute taille (le groupe BARRIERE, AUCHAN, AIR France, PICARD…) mais aussi moult PME et TPE, les experts de la structure francilienne VAE LES 2 RIVES ont posé leurs premiers jalons sur le territoire bourguignon il y a peu. Objectif de cette session liminaire qui devrait en appeler d’autres : aider les structures professionnelles à mieux appréhender ce dispositif de la VAE, dont bon nombre de spécialistes font désormais référence.

Spécialisée dans l’accompagnement VAE depuis 2002, cette structure entrepreneuriale parisienne, issue de la mouvance des ESS (entreprise solidaire et sociale), a décidé de s’appuyer sur les compétences de ses deux conseillers pour mailler le territoire icaunais.

Faire témoigner tous les acteurs de l’entreprise autour de ce dispositif…

« Auparavant, explique Delphine ANDRIEUX, j’étais responsable de la qualité et de la sécurité environnement dans un domaine viticole du Chablisien. J’ai choisi de me lancer comme micro-entrepreneur depuis mars 2017 pour démarrer cette activité. Depuis, je constate l’efficacité de notre démarche d’accompagnement, à travers le taux de réussite de nos candidats de 95 % sur le territoire national. Pourtant, je ne cesse de faire le constat suivant : les entrepreneurs de l’Yonne manquent d’information sur le dispositif de VAE. Ils méconnaissent les atouts pour leur entreprise et leurs salariés, en termes de reconnaissance, de motivation, de prise de recul et d’analyse sur les pratiques, conduisant à une montée en compétences des salariés, autrement dit une progression des performances de l’entreprise… ».

Accompagnée de son collègue, Régis MERARD, la jeune femme a décidé fort légitimement d’organiser ce premier rendez-vous à Auxerre. Un petit-déjeuner ouvert aux entreprises pour faire bouger les lignes…

« Je souhaitai que cette rencontre serve de lieu d’échanges, de témoignages et de questionnements sur les outils pouvant s’adapter aux besoins de chaque entreprise, explique-t-elle, comme par exemple les dispositifs hybrides alliant VAE et formation, pour offrir aux candidats un parcours à la carte, adapté au plus près des besoins réels du chef d’entreprise… ».

De l’obligation d’informer à l’opportunité d’engager…

Possédant une image parfois complexe à son assimilation, la VAE mérite que l’on s’y intéresse de très près. Sa démystification amène à de bons résultats si les accompagnants réalisent le nécessaire pour soutenir le concept.

S’en est suivi une présentation fournie autour de la thématique du jour. Au-delà du fait qu’il existe différentes formes de VAE, celles-ci revêtent de la plus haute importance pour l’employeur qui doit ainsi assumer sa responsabilité sociale et sociétale après l’horizon 2020.

Avec cet aspect obligatoire établi autour de la formation de ses collaborateurs, le chef d’entreprise sera tenu dorénavant responsable de l’échec de la non-employabilité s’il ne profite pas de ce dispositif pour détecter et gérer les talents professionnels de ses salariés.

« On utilise la VAE dans ce cadre, ajoute Delphine ANDRIEUX, afin d’encourager les personnes qui sont dans le désir de progresser professionnellement. L’employabilité est égale à expérience et à diplôme identiques. Le dispositif favorise ces deux aspects en conciliant le manque d’études par l’obtention de la VAE. Offrant la possibilité de redonner de la confiance en soi, l’exercice plaît de plus en plus en France, avec un zeste de mobilité horizontale et verticale afin de se repositionner au sein de l’entreprise…Notre rôle est d’aider et d’encourager à l’optimisation de ces parcours professionnels en sécurisant les personnes qui doivent valoriser leurs expériences. ».

La VAE : l’application de principes vertueux…

Obtenir un diplôme sans reprendre le chemin de l’école constitue l’intérêt primordial de ce concept. Le collaborateur qui exerce son savoir-faire en entreprise, continue de travailler en valorisant ses compétences. In fine, le diplôme obtenu est le même que celui qui aurait résulté d’une formation initiale. Il est reconnu sur le marché de l’emploi grâce à l’acquisition d’expériences professionnelles.

Aujourd’hui, et après quelques modifications, une année d’expérience professionnelle suffit pour prétendre présenter un dossier de recevabilité. En faisant abstraction de toutes conditions d’âge, de niveau scolaire et de diplômes. Même si les organismes certificateurs peuvent exercer un regard plus sévère sur un dossier de recevabilité bâti sur la trame de parcours modestes en matière d’expérience.

Néanmoins, tous les diplômes sont accessibles par l’impétrant à ce subtil processus : depuis le CAP jusqu’au Master2 dans l’enseignement supérieur. Il en est de même pour les formations diplômantes générées par des écoles privées, certains ministères ou encore les chambres consulaires.

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