Catégorie : Emploi
Les avantages à l’embauche des séniors dans l’entreprise

Au sein d’une entreprise, les seniors peuvent être de véritables atouts :
- Ils sont opérationnels très rapidement du fait de leurs expériences. Cela permet un gain de temps et financier
- Ils sont fidèles. Contrairement à un jeune où celui-ci n’hésitera pas à changer d’entreprise pour évoluer alors qu’un senior, restera et vous pourrez compter sur lui
- Il deviendra moins cher qu’un jeune. Même si au départ, il peut être plus cher, vous serez rapidement gagnant car il est directement opérationnel et il restera dans l’entreprise plus longtemps qu’un jeune
- Ils ont plein d’idées. Leurs expériences professionnelles et leurs connaissances acquises tout au long de leurs carrières pourront vous être utiles pour évoluer et faire face à certaines situations
- Ils sont mobiles. Ils acceptent plus facilement des postes pour évoluer dans l’entreprise car ils ont moins de contraintes familiales et personnelles.
Plus d’hésitation possible..
Utilisation des réseaux sociaux dans la recherche d’emploi

Les réseaux sociaux suscitent toujours le débat quant à la protection de la vie privée ou la sécurisation des données personnelles. Néanmoins, pour la recherche d’emploi, l’avis sur l’utilisation de ces réseaux sociaux semble être positif.
Ainsi, des réseaux sociaux exclusivement professionnels tels que LinkedIn ou Viadeo ont vu le jour. En attendant de créer votre profil sur ces réseaux plus professionnels, il est aujourd’hui possible de trouver des annonces de stage ou d’emploi sur Twitter, Facebook, Google+…
L’infographie ci- dessous a été réalisé par Talenteo et nous nous propose un panorama de l’utilité de ces réseaux sociaux et nous montre comment le néophyte peut apprivoiser ces réseaux dans un objectif de recrutement sans pour autant être un community manager !
Ces petites choses qui vous distraient au travail…
Les distractions au travail peuvent vous empêcher d’avancer dans vos tâches. Voici quelques conseils pour maximiser votre concentration au travail et ne pas céder à la distraction :
– Les petits creux
Qui n’a jamais éprouvé cette sensation de faim portée par un estomac bruyant à certains moments de la journée ? Les petites creux peuvent augmenter la nervosité, le niveau de stress et conduire un salarié à penser à son futur repas plutôt qu’à sa tâche.
Solution : n’hésitez pas à prévoir une petite collation qui calmera votre faim. Light, de préférence, votre ligne vous remerciera.
– Nouvelles technologie : Internet et téléphone portable
Ce sont des sources inépuisables de distraction au travail dans la mesure où nous sommes dépendants de nos petits appareils. Sms, mails, jeux, achats en lignes sans compter les réseaux sociaux ; facebook, twitter, instagram, pinterest…Cela favorise bel et bien votre déconcentration.
Solution : Vous accorder des pauses. Néanmoins durant le temps de travail, fermez tous les onglets non indispensables sur votre navigateur Internet et mettez votre téléphone hors de votre vue, et sur silencieux.
– Votre bureau
L’environnement de travail joue un rôle majeur quant à votre concentration au travail. Il peut être difficile de se concentrer lorsque le bureau sur lequel nous travaillons est désordonné.
Solution : Pensez à prendre quelques instants pour ranger, classer vos dossiers et fichiers numériques, et débarrasser votre espace de travail avant de déserter votre poste.
– Le bruit
Le bruit fait partie intégrante de la vie en entreprise et notamment lorsque l’on travaille au sein d’un open space.
Solution : investissez dans des boules Quiès ou dans un casque afin de vous immerger dans une bulle de travail personnelle.
– Les problèmes personnels
Il est important d’essayer de mettre sa vie personnelle de côté lorsque l’on franchit le seuil de l’entreprise afin de réaliser au mieux les tâches qui nous sont dévolues.
Solution : mettez en place un planning. Concentrez-vous un maximum durant vos heures de travail, et préférez les pauses déjeuner et goûter pour vous dédier à votre vie personnelle.
Allier vie professionnelle et vie personnelle n’est pas chose facile
La séparation vie professionnelle-vie privée se fait de plus en plus rare. En effet, plus de la moitié des salariés européens déclare être sollicitée en dehors des heures de travail. C’est peut-être même votre cas…
Ci-dessous une infographie basée sur une étude Endored Ipsos, publiée le 20 mai 2014 dans « Le Nouvel Observateur. »
Employer les personnes handicapées : Les idées reçues

Les personnes en situation de handicap ont un accès réduit à l’emploi. A l’origine de cette dure réalité, un bon nombre d’idées reçues méritent une analyse…Sont-elles réellement valables ?
1. Employer une personne handicapée nécessite des aménagements spéciaux.
Oui. Mais ces aménagements restent raisonnables. Un fauteuil adapté, des moyens d’accès spécifiques aux salles. Ces aménagements ne nécessitent ni la transformation de vos locaux ni un investissement onéreux.
2. On emploie les personnes handicapées pour des fonctions spéciales.
Faux. Tous les postes sont ouverts aux personnes handicapées. La loi est même désormais en faveur de cette ouverture.
3. Les personnes handicapées ont besoin d’horaires aménagés.
Faux. Les personnes handicapées bénéficient des mêmes horaires que les autres. Si des besoins spécifiques se présentent, cela peut faire l’objet d’un réaménagement. Ce n’est pas systématique.
Il y a donc bon nombres d’idées préconçues qui n’ont pas lieu d’être en ce qui concerne l’employabilité d’une personne en situation de handicap.
Ces erreurs que les recruteurs ne pardonnent pas
Sur 2000 dirigeants interrogés, 33% déclarent savoir dans les premières 90 secondes de la rencontre s’ils vont recruter le candidat ou non. Selon une étude réalisée en avril 2014 par Classes and Careers et traduite par id-carrières, voici une infographie sur les erreurs courantes et à ne pas commettre lors d’un entretien d’embauche :
La rémunération pendant la formation
Tout demandeur d’emploi indemnisé au titre de l’allocation d’aide au retour à l’emploi (ARE) peut, sur prescription de Pôle emploi continuer de percevoir l’ARE (dite ARE « formation ») pendant la durée de sa formation, dans la limite de ses droits à indemnisation.
L’allocation d’aide au retour à l’emploi (ARE) est un revenu de remplacement versé par Pôle emploi sous certaines conditions aux personnes inscrites comme demandeurs d’emploi et involontairement privés d’emploi. L’ARE est versée pour une durée qui varie selon l’âge de l’intéressé, la durée de son affiliation à l’assurance chômage et la date de fin de son contrat de travail.
Le montant de l’ARE est calculé à partir du salaire journalier de référence du bénéficiaire et des règles spécifiques s’appliquant à certaines professions. L’allocation peut cesser d’être versée ou être réduite lorsque le demandeur d’emploi ne respecte pas ses obligations, notamment celle de rechercher activement un emploi.
Les personnes sans emploi qui n’ont pas ou n’ont plus droit à l’ARE peuvent, sous certaines conditions, être indemnisées par l’État au titre du régime de solidarité.
Quand un simple CV se transforme en « oeuvre d’art »
Quand les réponses négatives et polies s’accumulent, et que l’espoir de retrouver un emploi s’amenuise, la question émerge d’elle-même : que faire pour que mon CV interpelle? La réponse pourrait bien être, un CV original.
Dans un contexte économique difficile, la toile fourmille de CV mis en ligne par des candidats créatifs et audacieux. « On ne compte plus les exemples originaux, du CV imprimé sur une petite culotte à l’enveloppe où l’on a glissé un Carambar », affirme Alain Ruel, fondateur du site CV-originaux.fr. Selon ce dernier, 80 % des candidats en ont retiré quelque chose : un job, des contacts ou des entretiens.
Si l’idée est d’attirer l’œil sur son profil, attention cependant à ne pas tomber dans le « bad buzz ». Dans une interview, Alain Ruela affirme « Le CV original doit respecter les règles d’éthique. Et ne doit en aucun cas remplacer le CV traditionnel que l’on remettra ensuite au recruteur pour entrer dans le processus de recrutement classique et passer un entretien ». L’opportunité pour tous les candidats créatifs de montrer de quoi ils sont capables. Par exemple, « pour un pâtissier, envoyer un gâteau avec son numéro de téléphone et la phrase : « Embauchez-moi » peut-être l’une des meilleures cartes de visite ! » souligne le fondateur du site.
Le CV original constitue néanmoins une prise de risque où il faut faire preuve d’audace et de courage. Semblable à une promesse pour son destinataire, l’auteur de ce CV devra être à la hauteur de son argumentaire, surtout ne pas décevoir.
L’Artisanat
L’Artisanat est un acteur de poids dans le tissu économique français.
Il est aujourd’hui un des premiers employeurs du secteur concurrentiel. Il anime l’une des plus efficaces filières de formation professionnelle, apparaissant comme une véritable « université des métiers ».
4 secteurs définissent l’Artisanat.
L’alimentation
Le bâtiment
La fabrication
Les services
L’Artisanat à beau créé énormément d’emplois (430 000 en 7 ans) certains secteurs n’attirent pas, alors qu’ils permettent souvent de découvrir un métier passionnant, au contact des gens, des matières. Pour cela la formation est un point clef du processus de renouvellement d’artisan, essayer d’attirer de nouveaux apprentis es primordial, afin de pérenniser la transmission des savoirs.
L’artisanat en chiffres
(source : APCMA, 2011)
300 milliards d’euros de chiffre d’affaires en France
1 million d’entreprises
3,1 millions d’actifs ( 10 % de la population active)
430 000 emplois créés en 7 ans
200 000 apprentis formés par an
1er emploi, les étudiants seraient trop optimistes
En ce qui concerne l’insertion professionnelle, la réalité est parfois cruelle. D’après une enquête britannique, les futurs jeunes diplômés se montreraient trop optimistes, voire irréaliste, quant à l’emploi qu’ils occuperont une fois leurs études terminées.
Selon un rapport du National Centre for Universities and Business, 80 % des étudiants interrogés pensent qu’ils auront un travail correspondant à leur niveau d’études 6 mois après la fin de leur formation. Pourtant, ils ne sont que 53 % à trouver l’emploi qu’ils recherchent et ce, dans les 5 ans qui suivent l’obtention du diplôme. Ces résultats dépendent néanmoins des filières choisies par les étudiants.
Ceux en sciences humaines seraient les plus réalistes. Les étudiants dans un cursus de philosophie ou d’histoire sont 56 % à penser qu’ils auront un travail dans les 6 mois. Cela résulte probablement du caractère moins concret de leurs études. A l’inverse, ce sont les étudiants en médecine ou les ingénieurs qui ont le plus d’espoir : 90 % d’entre eux s’attendent à travailler dans leurs domaines seulement quelques mois après la fin de leurs études.
Selon Aaron Porter, directeur des affaires externes au NCUB, ce décalage serait d’abord dû à une mauvaise connaissance du monde du travail. Il a déclaré « Si les étudiants souhaitent réaliser leurs ambitions, ils ont besoin de faire des recherches et d’avoir accès à davantage d’informations sur les compétences demandées par les employeurs« .
Il est très important de bien se renseigner sur les perspectives d’emploi et le dynamisme du secteur d’activité visé, avant de se lancer dans une formation