Auteur : akablaepic

 

1er emploi, les étudiants seraient trop optimistes

En ce qui concerne l’insertion professionnelle, la réalité est parfois cruelle. D’après une enquête britannique, les futurs jeunes diplômés se montreraient trop optimistes, voire irréaliste, quant à l’emploi qu’ils occuperont une fois leurs études terminées.

Selon un rapport du National Centre for Universities and Business, 80 % des étudiants interrogés pensent qu’ils auront un travail correspondant à leur niveau d’études 6 mois après la fin de leur formation. Pourtant, ils ne sont que 53 % à trouver l’emploi qu’ils recherchent et ce, dans les 5 ans qui suivent l’obtention du diplôme. Ces résultats dépendent néanmoins des filières choisies par les étudiants.

Ceux en sciences humaines seraient les plus réalistes. Les étudiants dans un cursus de philosophie ou d’histoire sont 56 % à penser qu’ils auront un travail dans les 6 mois. Cela résulte probablement du caractère moins concret de leurs études. A l’inverse, ce sont les étudiants en médecine ou les ingénieurs qui ont le plus d’espoir : 90 % d’entre eux s’attendent à travailler dans leurs domaines seulement quelques mois après la fin de leurs études.

Selon Aaron Porter, directeur des affaires externes au NCUB, ce décalage serait d’abord dû à une mauvaise connaissance du monde du travail. Il a déclaré « Si les étudiants souhaitent réaliser leurs ambitions, ils ont besoin de faire des recherches et d’avoir accès à davantage d’informations sur les compétences demandées par les employeurs« .

Emploi

Il est très important de bien se renseigner sur les perspectives d’emploi et le dynamisme du secteur d’activité visé, avant de se lancer dans une formation

Prime pour l’emploi, le crédit d’impôt

La prime pour l’emploi est un crédit d’impôt, qui peut être accordé aux foyers fiscaux sous certaines conditions. Le point sur son principe, les critères d’attribution et son versement.

Qu’est-ce que la prime pour l’emploi ?

La prime pour l’emploi (PPE) est une aide au retour à l’emploi et au maintien de l’activité professionnelle. Cette prime s’adresse aux foyers fiscaux ou l’un des membres possède une activité professionnelle, mais n’atteint pas un certain niveau de salaire. Elle vise donc à aider les travailleurs salariés et non-salariés ayant de faibles revenus.

La prime pour l’emploi peut être demandée lors de la déclaration de revenus. Il est alors nécessaire d’indiquer si l’on exerce une activité à temps plein ou partiel et dans ce second cas, le nombre d’heures travaillées. Elle est déduite de l’impôt sur le revenu à payer ou versée directement au bénéficiaire s’il n’est pas imposable

Conditions pour en bénéficier

Pour toucher la prime pour l’emploi, la personne exerçant une activité au sein du foyer fiscal doit justifier d’un revenu inférieur à un montant donné. Nous vous invitons à visiter le site du gouvernent pour vérifier les plafonds en fonction des années.

Quel est son montant

Le montant de la PPE individuelle est calculé en pourcentage du revenu d’activité déclaré. Le pourcentage appliqué varie selon le montant de ce revenu

Versement de la prime

La somme accordée au titre de la prime pour l’emploi peut être déduite du montant de l’impôt sur le revenu à régler. Elle peut aussi faire l’objet d’un virement si la personne bénéficiaire est non imposable. En ce cas, le Trésor Public procède au versement par chèque ou virement bancaire.

 

prime pour l'emploi

6 astuces clés pour réussir un entretien d’embauche

1. Se documenter sur l’entreprise, ces activités et l’organisation.
2. Avoir un objectif précis et se préparer aux différents sujets abordés.
3. Avoir un message : présenter vos points forts et mettez en avant vos compétences pour l’entreprise.
4. Préparer des exemples pour argumenter votre parcours professionnel, les moments forts à mettre en avant durant l’entretien.
5. Préparer vos éventuelles questions pour la dernière partie de l’entretien, dans le cas où elles n’auraient pas été abordées précédemment.
6. Adoptez la bonne attitude !

astuces

Ces pays qui n’attendent que vous !

Selon une récente étude, 7 cadres sur 10 rêvent de décrocher un poste hors de nos frontières. Que ça soit pour donner de l’élan à leur carrière ou pour une autre raison, dans la majorité des cas cela reste un rêve.

« L’un des pays qui recherche le plus de cadres, c’est l’Allemagne », indique Benoît Martin, organisateur du Salon Forum Expat qui s’est tenu en juin 2014 à Paris. Chaque année, l’économie allemande perd 5 000 à 6 000 jeunes diplômés, à cause d’une démographie déclinante.  « Le pays aura besoin de 60 000 ingénieurs étrangers d’ici 2015 » affirme Bertram Brossardt, responsable de la fédération de l’électrométallurgie bavaroise.Les entreprises allemandes font tout pour vous attirer : cours de langues, aide à l’installation, salaires attractifs… A vos CV ! A présent plus de 110 000 Français sont déjà installés en Allemagne. Ok, pas l’Allemagne, mais que dites-vous du Canada ? Un peu plus loin certes, mais ils font face de la même manière à une pénurie. D’après les prévisions du Conseil canadien des ingénieurs, 95 000 ingénieurs partiront à la retraite d’ici 2020, cela vous laisse toutes vos chances ! Plus exotique, me diriez-vous, avez-vous pensé la Nouvelle Calédonie. L’économie du pays est en plein boom. Premier exportateur de nickel du monde, l’archipel a ouvert récemment la plus grosse usine à ciel ouvert de la planète.Si vous avez fait une grande école ou suivi un cursus universitaire de haut niveau, foncez ! Ces profils sont particulièrement prisés dans cette zone. Sans compter que la langue des affaires y est le français. Bonne nouvelle !

Effectivement, même si elle dispose de son propre gouvernement l’archipel appartient à la France et les avantages fiscaux y sont bien plus intéressants.

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27 candidature envoyées pour obtenir un poste

Selon un baromètre Ifop pour le cabinet Deloitte rendu public, les jeunes diplômés ayant récemment trouvé un emploi ont envoyé en moyenne 27 CV et lettres de motivation pour obtenir leur poste. Le saviez-vous ?

Le sondage a été réalisé en ligne du 9 au 18 janvier 2014 auprès d’un échantillon de 1.001 jeunes titulaires d’un diplôme de niveau Bac à Bac+5 depuis moins de trois ans, en poste ou en recherche d’emploi.

Un marché de l’emploi «moins favorable»
Toujours selon le cabinet Deloitte, le marché de l’emploi des jeunes diplômés apparaît «moins favorable». Pour ceux ayant obtenu un emploi, le nombre de curriculum vitae envoyés apparaît en nette hausse.

9% des jeunes ont en outre dû envoyer plus de 50 CV pour avoir un poste. Aussi, la recherche d’emploi tend à s’allonger, atteignant 11 semaines cette année pour ceux ayant obtenu un emploi, ainsi, 22% des jeunes diplômés ont aussi rapporté avoir mis plus de 12 semaines à obtenir un poste.

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La charte de moparentalité vient en aide aux familles monoparentales

D’après une étude ménée par l’INSEE, 1 famille monoparentale sur 3 vit en dessous du seuil de pauvreté. En générale composée de femmes, les familles monoparentales sont concernées par les temps partiels ou les horaires décalés, ce qui pose le problème de la garde des enfants. C’est donc face à ce constat, que la fondation K d’urgence a lancé la « Charte de la monoparentalité ».

Les points clé de la Charte de la monoparentalité

– Être attentif aux salariés en situation de monoparentalité

– Aménager quand cela est possible, le temps et les conditions de travail en fonction des besoins des salariés en situation de monoparentalité.

– Assurer dès le recrutement l’accès aux mêmes opportunités de parcours professionnel pour les salariés en situation de monoparentalité.

– Aider autant que possible les salariés en situation de monoparentalité pour la garde d’enfant.

– Évaluer tous les deux ans les actions mises en œuvre dans le cadre de cette charte.

De nombreuses entreprises ont déjà signé la charte de la monoparentalité. Parmi elles, Christian Dior Couture, DSO interactive, L’Oréal, Unilever, Renault, Accenture, Randstad, APHP, la Mutualité française, GDF Suez, LCL, Système U, IMS-Entreprendre pour la Cité, Ikea, Compte Nickel, la Ville de Paris, la Ville de Nice, la Fédération syndicale des familles monoparentales, l’Express, l’Expansion, la Fédération française de Basketball, le site Parent-Solo…

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Plus de place pour les inégalités hommes-femmes au travail

Les inégalités Hommes-Femmes au travail ne datent pas d’hier. En effet, il est question ici de 19,5 % de différence de salaire.
Une étude cosignée par l’EDHEC et le site Talentoday s’est intéressée aux atouts et motivations des femmes au travail et livre quelques pistes sur la question de ces différences. Plus de 30 000 hommes et femmes, lycéens et actifs, juniors et expérimentés ont répondu à l’enquête. Vous seriez surpris de ses conclusions…

D’après l’étude, les femmes au travail sont diplomates, moins intéressées par la reconnaissance sociale et  plus inspirées par la philanthropie que par leur rémunération.  Cela pourrait expliquer bien des écarts de salaires et le manque cruel de féminité aux plus hauts échelons hiérarchiques.

Ambitieuses sont les femmes et  « principalement chez les plus jeunes, encore scolarisées « , souligne Manuelle Malot, directrice de la prospective de l’EDHEC. C’est bien connu, les filles sont plus studieuses que les garçons, « c’est grâce à cela qu’elles ont réussi leurs concours et leurs examens « , ajoute Manuelle Malot. Mais la bataille de l’entreprise est d’un autre tonneau où le plus travailleur n’est pas forcément celui qui grimpe vers les sommets. « Cette dimension ambitieuse et politique est plutôt le fait de ces messieurs  » ajoute la directrice.

 « La tendance est au « co ». Au management coopératif, collaboratif et coresponsable. Autant de qualités féminines. » L’avenir appartient aux femmes, si les hommes, souvent à la tête des entreprises leur laissent une place. 

 homme femme travail

 

Aide au permis de conduire

permis de conduire

Le saviez-vous ? « Le demandeur d’emploi, pour lequel il est constaté que ne pas avoir le permis de conduire automobile (permis B) constitue un frein à la reprise d’emploi, peut bénéficier, sous certaines conditions, d’une prise en charge totale ou partielle par Pôle emploi des frais d’apprentissage du permis. »

Les conditions ? Le demandeur doit être âgé de plus de 18 ans et être inscrit depuis au moins 6 mois de manière continue, toutes catégories confondues, sur la liste des demandeurs d’emploi.

Après s’être inscrit dans une auto-école, le demandeur d’emploi doit remplir sous un mois un formulaire de demande d’aide « Pôle Emploi permis de conduire ». C’est ensuite son conseiller Pôle Emploi, qui obtiendra de sa hiérarchie un visa qui autorisera le déclenchement de l’aide Pôle Emploi permis de conduire.

Plus d’informations sur le site du service public

La technologie serait-elle responsable du taux de chômage ?

Quand une nouvelle technologie automatise certaines tâches, les personnes qui les accomplissent ont de bonnes raisons de s’inquiéter. Pour l’économie dans son ensemble, le processus est bénéfique : l’automatisation permet d’accroître la productivité, de faire baisser le prix des biens et d’augmenter ainsi le pouvoir d’achat des consommateurs.

informatisation

Un petit peu d’histoire…

A partir des années 1970, les machines assistées par ordinateur ont remplacé les emplois dans l’industrie manufacturière. En effet, beaucoup de processus industriels sont très répétitifs et nécessitent de la précision : les ordinateurs et les robots sont donc bons pour les accomplir. Dès les années 1980, le développement de l’ordinateur individuel et l’arrivée d’Internet ont supprimés des emplois dans le tri ou le stockage de données qui sont souvent, eux aussi, répétitifs.

Mais certains emplois, ne sont pas affectés par l’informatisation. Ce sont en général des tâches qui requièrent de la créativité, de la réflexion et une capacité d’adaptation. En somme ce sont des taches de leadership.

Pour ce qui est des  « tâches manuelles », qui requièrent une motricité précise ainsi qu’une capacité de communication, elles ne sont pas touchées par l’informatisation. Enfin, pas encore…

Programme opérationnel Initiative pour l’Emploi des Jeunes (IEJ) en France

L’Initiative pour l’Emploi des Jeunes (IEJ) cible tous les jeunes âgés de moins de 26 ans sans emploi et ne suivant ni études ni formation, résidant dans les 16 régions éligibles du fait de leur plus fort taux de chômage des jeunes. Ainsi, il concerne donc autant les jeunes chômeurs indemnisés, qui peuvent être diplômés, que les jeunes «décrocheurs» qui ne fréquentent pas le service public de l’emploi.

Le programme opérationnel Initiative pour l’emploi des jeunes (IEJ) en France, a été lancé officiellement le 3 juin 2014 lors d’une conférence en présence de Najat VALLAUD-BELKACEM (ministre des droits des femmes, de la ville, de la jeunesse et des sports), François REBSAMEN (ministre du Travail, de l’Emploi et du Dialogue social), Alain ROUSSET (président de l’association des Régions de France), László ANDOR (commissaire européen chargé de l’emploi, des affaires sociales et de l’inclusion).
Avec ce programme IEJ, la France est le premier Etat membre de l’Union européenne à avoir fait approuver un programme opérationnel Fonds structurels par la Commission européenne pour la période 2014-2020.

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