Auteur : akablaepic
AfterWork de la VAE: un grand merci !
Notre premier AfterWork de la VAE sur le thème « L’avant/l’après, les anciens témoignent ! » a été un véritable succès !
Cette soirée a répondu à toutes nos attentes… partage, convivialité et bonne humeur ont été les maitres mots de la soirée !
Nous tenons à remercier tous les participants d’être venus aussi nombreux, toutes ces personnes sans qui la soirée n’aurait pas été la même ! Leur bonne humeur et leur intérêt pour la VAE ont contribué à la réussite de cet évènement.
Toute l’équipe a déjà hâte d’être au second AfterWork haut en couleurs qui aura lieu dès la rentrée prochaine… 🙂
Un grand merci !
Conférence sur les 10 ans de la VAE
Voici la vidéo de la conférence sur les 10 ans de la VAE organisée par le numéro 1 du réseau national dans l’accompagnement VAE, le cabinet Les 2 Rives !
Découvrez le bilan donné par les experts du secteur sans plus tarder !
Les informateurs et les conseillers
Qui sont-ils?
- Les réseaux d’accueil information conseil (ALE: agences locales pour l’emploi, CIO (Centre d’information et d’orientation), missions locales, etc.) chargés de l’information générale.
- Les PRC (Points relais conseil) ou les PIC (Points info conseil), structures labellisées mises en place au plan régional, qui se sont constituées suite à des appels d’offres. On trouve des associations, les chambres de commerce, les centres d’information, d’orientation et de documentation, les centres de bilan… une pléthore d’organismes dont la pertinence est souvent difficilement identifiable. Ils sont chargés de l’orientation du demandeur vers un ou plusieurs certificateurs(s).
- Les certificateurs centrés sur leurs propres certifications (dispositifs académiques de validation des acquis, les DAVA ou DAVEN qui peuvent devenir des centres et se muer en CAVA ou CAVEN selon les Académies, service VAE des universités, Afpa, etc.).
- Les structures d’information sur la VAE, telles que Centre Inffo, comités de coordination régionaux de l’emploi et de la formation professionnelle (CCREFP), structures pilotées par les conseils régionaux en matière d’information-conseil, etc. qui dispensent des informations générales et des informations sur les certifications accessibles par la VAE.
- La Commission nationale des certifications professionnelles (CNCP) qui tient à jour les coordonnées des référents et correspondants VAE classées par région et les met à disposition sur son site.
- Internet, vitrine d’une information pluridimensionnelle et éclatée. Les informations sont éparpillées au sein des sites ministériels et d’une multitude d’organismes.
Deux sites officiels sont à consulter:
- www.vae.gouv.fr présentant les différentes démarches et les lieux où s’adresser pour trouver l’information
- www.orientation-pour-tous.fr permettant de trouver l’information recherchée
Exclusivité: le teaser de la conférence des 10 ans de la VAE !
En attendant le 25 Juin, le Blog de la VAE vous fait découvrir en exclusivité le teaser de la conférence des 10 ans de la VAE !
Les experts du secteur font le bilan !
Afterwork de la VAE
L’Association des Diplômés de la VAE bat son plein !
Salarié ou demandeur d’emploi, les solutions pour financer votre VAE
La Validation d’Acquis de l’Expérience représente un certain coût. Mais il faut savoir que de nombreux organismes ont été mis en place pour venir en aide au financement VAE à ne pas négliger.
Si vous êtes salarié(e), c’est votre entreprise ou le FONGECIF (ou autre OPACIF) qui assureront votre VAE. Vous pouvez également utiliser vos droits acquis dans le cadre du DIF (Droit Individuel à la Formation).
Si vous êtes demandeur d’emploi, vous pouvez bénéficier d’aides précieuses auprès de différents organismes pouvant assurer la gratuité intégrale de votre parcours VAE. En effet, le rôle des régions occupe une place importante en faveur du développement de la VAE. Les conseils régionaux proposent des aides financières pour prendre en charge votre accompagnement VAE. En complément, Pôle Emploi va vous venir en aide dans votre financement si vous bénéficiez de 3 ans d’expérience professionnelle ou de bénévolat en rapport avec le diplôme visé.
N’hésitez plus à faire de votre expérience professionnelle un diplôme !
VAE : quel intérêt pour les entreprises ?
On parle de nous !
David Rivoire, dirigeant du cabinet Les 2 Rives et fondateur du groupe VAE Les 2 Rives, parle de l’intérêt de la Validation des Acquis de l’Expérience au sein des entreprises. L’article est paru dans le journal en ligne Ouest France emploi. Voici l’article en entier, ce jeudi 30 Mai 2013 !
La VAE : un outil de développement des compétences
Depuis sa mise en œuvre, la Validation des acquis de l’expérience (VAE) connaît un beau succès. Si les bénéfices sont évidents pour les salariés, les entreprises ne sont pas en reste : les plus-values concernent à la fois la stratégie, la gestion RH et l’image.
En 2011, près de 30 000 titres professionnels ont été obtenus par la voie de la VAE, portant le nombre total de bénéficiaires à près de 230 000 personnes depuis sa création, en 2002. « En dix ans, les perceptions ont beaucoup évolué, faisant de la VAE un outil gagnant-gagnant pour le salarié et l’entreprise », explique David Rivoire, directeur associé du cabinet Les 2 Rives, spécialisé dans l’accompagnement des entreprises pour leurs démarches de VAE. Le consultant note une évolution : à côté des entreprises qui se contentent de répondre aux demandes des salariés, d’autres s’en saisissent comme levier au service de la fidélisation, du développement des compétences et de l’image sociale.
« En permettant de reconnaître les compétences acquises par un diplôme, du CAP au bac + 5, la VAE contribue à l’attachement du salarié pour l’entreprise et à son engagement », confirme David Rivoire en signalant les résultats d’une étude commandée par Les 2 Rives : contrairement aux craintes de certains DRH, la VAE n’est pas recherchée par les candidats pour gagner en employabilité et changer d’entreprise. Dans 90 % des cas, la motivation principale est le besoin de reconnaissance et la stabilité dans l’emploi.
Développement des compétences et mobilité interne
Les entreprises peuvent également trouver un intérêt en termes stratégiques, pour adapter le développement des compétences aux évolutions du business. Comme l’expliquent Pierre-Yves Sanséau, Sandrine Ansart et Pascal Lefort, enseignants à Grenoble École de Management dans leur livre « La VAE : un outil de développement des compétences » (Dunod, 2010), la VAE peut s’imposer comme un outil de management des compétences, un levier supplémentaire pour atteindre les objectifs.
Depuis 2009, Armatis – une société de centre d’appels – déploie des programmes de VAE collective pour ses téléconseillers, superviseurs et responsables de production, soit des diplômes allant du niveau bac à bac + 5. Si la fidélisation et la reconnaissance des collaborateurs sont les objectifs prioritaires, l’entreprise y voit plusieurs intérêts. « La VAE ouvre la voie à davantage de mobilité interne et à des postes marqués par la polyvalence », précise Sylvie Mathis, responsable RH. « Elle permet ainsi de répondre aux exigences d’évolution de la profession. ». Et à celles de certains clients de l’entreprise, qui demandent des téléconseillers avec le niveau bac.
Un pilier de la gestion RH
Pour Sylvie Mathis, « la VAE est un pilier de la politique RH » : reconnaissance et fidélisation des collaborateurs, stratégie d’entreprise mais aussi enjeu d’image. En termes de marque employeur, la VAE a donc un rôle à jouer. L’enseigne McDonald’s l’a bien compris, en initiant une démarche ambitieuse depuis 2004 : d’abord centrée sur les managers, elle concerne désormais les équipiers, et le groupe ne manque pas de communiquer en ce sens.
Grandes entreprises ou PME, la VAE présente donc des avantages certains. « Les DRH ont intérêt à être proactifs et à faire de la VAE une démarche cadrée et réfléchie », estime David Rivoire. Une dynamique sur le long terme, qui séduit les entreprises. Une étude d’Agefos PME Rhône-Alpes signale ainsi que 78 % des entreprises déjà concernées prévoient d’initier de nouvelles démarches de VAE.
Article de Gilles Marchand
Comment financer sa VAE ?
La VAE représente un certain coût. Selon votre statut, il existe de nombreuses possibilités de financement. Que vous soyez demandeur d’emploi, salarié ou indépendant, il y a plusieurs organismes qui peuvent vous aider à financer votre VAE.
Que vous soyez demandeur d’emploi, inscrit au Pôle Emploi ou en cours de licenciement, ce sont les organismes Pôle Emploi ou le Conseil Régional de votre région qui assurent l’aide de financement VAE.
Si vous êtes salarié(e), une convention est alors mise en place. Le financement peut s’effectuer dans le cadre du DIF (Droit Individuel à la formation) en utilisant vos droits acquis. Le DIF pourra être pris en charge soit par votre employeur, soit par un OPCA. Seuls les personnes travaillant en CDD doivent remplir des conditions d’ancienneté.
Si vous êtes indépendants, en profession libéral ou chef d’entreprise, le type de financement diffère. En effet, peu d’organismes sont à disposition. Dans ce cas, il sera préférable de faire la démarche d’appeler l’organise auquel vous dépendez.
Alors n’attendez plus pour transformer votre expérience en diplôme !
Les DRH ont-ils des pratiques d’un autre âge ?
Certification de coachs aux pratiques fantaisistes, méthodes de recrutement douteuses, piston…
Dans un ouvrage choc « DRH, le livre noir », Jean-François Amadieu, sociologue et professeur à Paris 1, dresse un réquisitoire sans appel de la profession. Un point de vue décalé pour Jean-François Sciberras, DRH de Rhodia et président de l’ANDRH (Association des DRH) qui prend le contre-pied des accusations.
Dans un ouvrage au titre choc » DRH, le livre noir « , paru en janvier 2013, Jean-François Amadieu, sociologue et professeur à Paris 1, dénonce les pratiques douteuses de la profession. Un regarde décalé pour Jean-François Sciberras, DRH de Rhodia et président de l’ANDRH (Association des DRH) qui prend le contre-pied des accusations… même s’il reconnaît que les pratiques des Ressources humaines doivent se professionnaliser.
» Irrationnelle « , dotée de pratiques » ésotériques » et » discriminatoires« … Dans un ouvrage choc » DRH, le livre noir » (1), Jean-François Amadieu, sociologue et professeur à Paris 1, dénonce les pratiques douteuses de la profession : certification de coachs aux pratiques fantaisistes; réhabilitation du » piston « , pratiques inéquitables en matière de salaire et de carrière fondées sur des critères opaques ou encore méthodes de recrutement douteuses. Avec à la clef, des questions intrusives voire carrément illégales dans les entretiens, aggravées par le recours à la graphologie, la numérologie, l’astrologie ou encore la morphopsychologie. Soit une série d’aberrations qui gangrènent le monde du travail faisant des entreprises des lieux de discrimination, de stress et de souffrance. A tort ? A raison ? Quelles sont réellement les pratiques de recrutement des DRH ? Leurs méthodes d’évaluation ? De quoi dépendent réellement les salaires et les carrières ? Voici la réponse avec Jean-François Sciberras.
Colère, résignation… Que vous inspire la lecture du livre de Jean-François Amadieu ?
Le regard d’un observateur extérieur, a fortiori reconnu, peut être tout à fait positif pour la profession. Mais le livre me semble décalé. Il y a 20-25 ans, en effet, il visait juste. Les méthodes de recrutement ésotériques comme la graphologie étaient, en effet, utilisées. Mais la profession a changé. Ce n’est plus le cas aujourd’hui. D’ailleurs, les candidats optent davantage pour les mails plutôt que les lettres manuscrites. Quant au tarot, cette méthode relève de l’épiphénomène plutôt que d’une tendance lourde. La loi de 1992 – dont j’ai été à l’origine en tant que conseiller technique de Martine Aubry, alors ministre du Travail – a, d’ailleurs, permis de mieux encadrer les pratiques de recrutement. Avec, parmi les mesures phares, l’obligation d’informer le comité d’entreprise sur de tels usages. D’où la limitation des techniques douteuses… effectivement discutables.
Quelles sont les marges de progrès? La lutte contre les discriminations reste-elle prioritaire pour les DRH?
De nombreux progrès ont été faits. D’ailleurs, ce sujet n’existait pas il y a vingt ans. Mais comme toute profession, la fonction est perfectible. Sur la question du recrutement, il faut, en effet, se méfier des stéréotypes que nous avons tous. C’est pourquoi, il faut objectiver le recrutement en se basant sur des critères professionnels (formation, expérience …). Même si les jeunes issus de l’immigration peinent toujours à franchir le pas des entreprises. Les testings menés à ce sujet, notamment par Jean-François Amadieu, sont sans appel. A compétences égales, une candidature avec un nom aux consonances étrangères, une adresse située dans un quartier difficile sera plus souvent écartée qu’un CV portant un nom franco-français.
La piste du CV anonyme permettait justement de lutter contre ces discriminations en offrant aux jeunes la possibilité de franchir le cap du premier entretien. L’idée a malheureusement été enterrée. En revanche, les mentalités évoluent sur l’emploi des seniors. Leurs compétences sont de plus en plus reconnues et valorisées. Un signe ? Ces derniers mois, le taux d’emploi de ces salariés progresse.
Que répondez-vous face aux accusations concernant l’opacité des rémunérations ou encore de l’évaluation des salariés ?
La encore, des avancées considérables ont été faites. L’attribution de la rémunération variable des managers est, aujourd’hui, conditionnée à des critères de performance, liés aux résultats de l’entreprise. Qu’ils soient qualitatifs ou quantitatifs, collectifs ou individuels. Pour les dirigeants, les recommandations de l’Association française des entreprises privées (AFEP) et du Medef ont également permis d’apporter plus de transparence et d’éthique dans l’attribution des stocks-options et des actions gratuites.
La profession souffre-t-elle d’un déficit d’images?
L’image du DRH est liée à la conjoncture économique. A chaque crise, on note une fracture avec l’opinion. D’où la nécessité de professionnaliser nos pratiques afin d’être irréprochable. C’est aussi un gage d’attractivité pour la jeune génération.
(1) éditions du Seuil, janvier 2013.
Source: lentreprise.com
Tremplin VAE – Bouche du Rhône
Tremplin VAE s’est agrandit !
Tremplin VAE le premier réseau national d’accompagnement VAE et bilan de compétences sur mesure vous propose ses expertises au coeur de la région PACA à Marseille !